L'autorisation du Maître
Aria, c'est le nom qui dissimule mon annihilation complète, une lope dont l'insignifiance ne trouve écho qu'à travers les ordres de mon Maître, qui est la boussole de mon quotidien. Rentré chez moi après cette matinée inattendue avec le voisin du 4ème, je me sens à la fois excitée et anxieuse. Le goût de son sperme linger encore sur mes lèvres, un rappel de ma nature de vide-couilles, mais une voix intérieure me rappelle que je n'appartiens qu'à mon Maître. L'incertitude amplifie mon humiliation : ai-je trahi sa confiance en sucant cet inconnu sans permission ? Ou sera-t-il amusé de me voir utilisée comme une pute de quartier ? Je sais que je dois lui annoncer cette situation imprévue et lui demander formellement l'autorisation de pomper mon voisin pour son plaisir matinal. Chaque seconde d'hésitation est une torture, le suspense de sa réaction – une punition sévère, ou une approbation vicieuse ? – me nouant l'estomac.
Je compose son numéro, les doigts tremblants, et attends les sonneries comme des coups de fouet. Lorsqu'il répond, sa voix grave me transperce : « Qu'est-ce que tu veux, lopette ? » Je murmure, la voix brisée : « Maître, votre chienne a une confession à faire. Mon voisin du 4ème a découvert mes penchants et m'a utilisé ce matin. Il m'a ordonné de le sucer, et je l'ai fait, mais je sais que je suis à vous. Je vous demande humblement l'autorisation de le pomper chaque matin, pour son plaisir, si cela vous amuse. » Le silence s'étire, insoutenable, l'incertitude amplifiant mon humiliation – me reniera-t-il, ou m'ordonnera-t-il de continuer pour le divertir ?
Enfin, il rit, un son cruel qui me fait frémir d'excitation. « Bonne petite pute, tu commences à attirer les mecs comme une vraie salope. Autorisation accordée, mais à une condition : filme chaque pipe et envoie-moi. Et dis-lui que tu es ma chienne, qu'il peut te prêter à d'autres si je le décide. » Mon cœur bondit de joie perverse, l'incertitude se muant en anticipation – comment le voisin réagirait-il à cette révélation ? Je le remercie, léchant instinctivement mes lèvres comme si c'était ses pieds, et raccroche, prête à plonger plus profond dans cette soumission partagée.
Le lendemain, vers 7h00, le téléphone du voisin sonne à nouveau : « Viens, salope, ma femme est partie. » Je me rends chez lui, rampant dans l'entrée, et il m'attend nu sur son lit. Avant de commencer, je murmure : « Mon Maître m'autorise à vous pomper, mais je suis sa chienne, et il pourrait me prêter à d'autres. » Il sourit, excité par l'idée, et je passe une cagoule, m'allongeant sur le ventre pour embrasser ses pieds, remontant avec des baisers le long de ses jambes, léchant goulûment ses testicules comme une bonne chienne. Il me baise la bouche, et je pompe avec ferveur, avalant chaque goutte lorsqu'il explose, nettoyant sa queue comme une pute dévouée.
Il filme tout pour mon Maître – approuvera-t-il la vidéo, ou me punira-t-il pour un détail ? Sa réponse arrive le soir : « Bonne lopette, continue à pomper ce voisin. Bientôt, je te ferai sucer d'autres. » Mon excitation culmine, me rappelant que je suis sa salope, sa femme, sa lope soumise. Je suis Aria, sissy esclave, une lope passive dont la vie se résume à appartenir à son Maître, à pomper et à me faire baiser pour sa gloire. Dans cette servitude absolue, dans ce suspense constant, je trouve ma plénitude, ma raison d’être. À demain, Maître, pour vous servir encore.
Je compose son numéro, les doigts tremblants, et attends les sonneries comme des coups de fouet. Lorsqu'il répond, sa voix grave me transperce : « Qu'est-ce que tu veux, lopette ? » Je murmure, la voix brisée : « Maître, votre chienne a une confession à faire. Mon voisin du 4ème a découvert mes penchants et m'a utilisé ce matin. Il m'a ordonné de le sucer, et je l'ai fait, mais je sais que je suis à vous. Je vous demande humblement l'autorisation de le pomper chaque matin, pour son plaisir, si cela vous amuse. » Le silence s'étire, insoutenable, l'incertitude amplifiant mon humiliation – me reniera-t-il, ou m'ordonnera-t-il de continuer pour le divertir ?
Enfin, il rit, un son cruel qui me fait frémir d'excitation. « Bonne petite pute, tu commences à attirer les mecs comme une vraie salope. Autorisation accordée, mais à une condition : filme chaque pipe et envoie-moi. Et dis-lui que tu es ma chienne, qu'il peut te prêter à d'autres si je le décide. » Mon cœur bondit de joie perverse, l'incertitude se muant en anticipation – comment le voisin réagirait-il à cette révélation ? Je le remercie, léchant instinctivement mes lèvres comme si c'était ses pieds, et raccroche, prête à plonger plus profond dans cette soumission partagée.
Le lendemain, vers 7h00, le téléphone du voisin sonne à nouveau : « Viens, salope, ma femme est partie. » Je me rends chez lui, rampant dans l'entrée, et il m'attend nu sur son lit. Avant de commencer, je murmure : « Mon Maître m'autorise à vous pomper, mais je suis sa chienne, et il pourrait me prêter à d'autres. » Il sourit, excité par l'idée, et je passe une cagoule, m'allongeant sur le ventre pour embrasser ses pieds, remontant avec des baisers le long de ses jambes, léchant goulûment ses testicules comme une bonne chienne. Il me baise la bouche, et je pompe avec ferveur, avalant chaque goutte lorsqu'il explose, nettoyant sa queue comme une pute dévouée.
Il filme tout pour mon Maître – approuvera-t-il la vidéo, ou me punira-t-il pour un détail ? Sa réponse arrive le soir : « Bonne lopette, continue à pomper ce voisin. Bientôt, je te ferai sucer d'autres. » Mon excitation culmine, me rappelant que je suis sa salope, sa femme, sa lope soumise. Je suis Aria, sissy esclave, une lope passive dont la vie se résume à appartenir à son Maître, à pomper et à me faire baiser pour sa gloire. Dans cette servitude absolue, dans ce suspense constant, je trouve ma plénitude, ma raison d’être. À demain, Maître, pour vous servir encore.
7 days ago