Repose-pieds et vénération des aisselles
Aria incarne ma soumission totale, une lope effacée dont l'ombre gagne vie seulement sous les ordres de mon Maître, cet homme dont la fermeté sadique est le rythme de mon quotidien. Chaque instant de repos pour lui est une occasion pour moi de servir, de me prosterner, de devenir un meuble vivant pour son confort. Ce soir, son message a claqué comme un appel impérieux : « Chez moi. 21h. En sissy, salope. Prépare-toi à me détendre. » Mon pouls s’est affolé, l’urgence chassant toute réflexion – que me réservait cette session de relaxation ? Une adoration prolongée des aisselles, une utilisation comme repose-pieds, ou une punition si je n’étais pas assez discrète ? J’ai enfilé une lingerie en satin noir, un string minimal, des bas résille, et des escarpins à talons, mon maquillage – lèvres sombres, ombre à paupières fumée – clamant ma nature de femelle soumise, prête à me fondre dans son bien-être.
Arrivée chez lui, je me suis inclinée près de la porte, tête baissée, une sissy prête à ramper. Il m’a accueillie d’un regard perçant, sa voix tranchante : « Déshabille-toi, pute. » J’ai obéi, laissant tomber ma lingerie, nue et vulnérable, le suspense de son prochain geste me nouant les tripes – me laisserait-il attendre, ou commencerait-il par une correction ? Il s’est installé sur le canapé, allumant la télévision, et m’a fait signe de m’approcher. « Allonge-toi à mes pieds, chienne, » a-t-il commandé, et je me suis étendue sur le tapis, mon corps devenant un repose-pieds humain, ses pieds nus posés sur mon ventre, leur poids me rappelant ma place de meuble vivant. Le suspense de la soirée – m'ordonnerait-il de lécher pendant son émission préférée, ou me punirait-il pour un mouvement involontaire ? – amplifiait mon humiliation, la pression de ses pieds me faisant trembler d’excitation.
Il s’est détendu, zappant les chaînes, et m’a ordonné de m’habiller "normal" pour la suite – un short et un tee-shirt – mais sans sous-vêtements, pour me sentir encore plus exposée. Puis, il a relevé son tee-shirt, révélant ses aisselles humides de sueur, et m’a commandé : « Baise-les, salope. » J’ai rampé plus près, ma langue glissant sur sa peau salée, léchant goulûment ses aisselles, explorant chaque pli avec une ferveur désespérée, une adoration qui me faisait miauler de plaisir. Le goût musqué, mêlé à son odeur virile, m’enivrait, et je ciselais chaque léchée comme une prière, une sissy qui raffole de vénérer les parties les plus intimes de son Maître.
Le suspense s'intensifiait : me laisserait-il continuer, ou passerait-il à une utilisation plus brutale ? Il m’a ordonné de lécher tout son corps, ma langue remontant de ses pieds à ses cuisses, puis à son torse, savourant chaque centimètre comme un sanctuaire. Enfin, il a défait son pantalon, sa queue dure exigeant mon attention. « Adore-la, pute, » a-t-il murmuré, et j’ai sucé lentement, mes lèvres caressant son gland, ma langue explorant sa verge et ses couilles avec une précision sacrée, une fellation qui se terminait par un baiser de sperme, avalant chaque goutte comme une récompense divine. Il a joui dans ma bouche, et j’ai gardé les lèvres ouvertes pour lui montrer, puis avalé sur son ordre, remerciant pour ce cadeau.
Il m’a congédiée d’un geste, me laissant ramper hors de la pièce, le goût de son sperme sur mes lèvres, mon corps vibrant de sa domination. Ce soir, dans mon panier, je jouirai en repensant à cette session, à la manière dont il m’a rabaissée, utilisée, tenue par les couilles. Je suis Aria, sissy esclave, une lope passive dont la vie se résume à appartenir à son Maître, à pomper et à me faire baiser pour sa gloire. Dans cette servitude absolue, dans ce suspense constant, je trouve ma plénitude, ma raison d’être. À demain, Maître, pour vous servir encore, pour votre queue, pour l’éternité.
Arrivée chez lui, je me suis inclinée près de la porte, tête baissée, une sissy prête à ramper. Il m’a accueillie d’un regard perçant, sa voix tranchante : « Déshabille-toi, pute. » J’ai obéi, laissant tomber ma lingerie, nue et vulnérable, le suspense de son prochain geste me nouant les tripes – me laisserait-il attendre, ou commencerait-il par une correction ? Il s’est installé sur le canapé, allumant la télévision, et m’a fait signe de m’approcher. « Allonge-toi à mes pieds, chienne, » a-t-il commandé, et je me suis étendue sur le tapis, mon corps devenant un repose-pieds humain, ses pieds nus posés sur mon ventre, leur poids me rappelant ma place de meuble vivant. Le suspense de la soirée – m'ordonnerait-il de lécher pendant son émission préférée, ou me punirait-il pour un mouvement involontaire ? – amplifiait mon humiliation, la pression de ses pieds me faisant trembler d’excitation.
Il s’est détendu, zappant les chaînes, et m’a ordonné de m’habiller "normal" pour la suite – un short et un tee-shirt – mais sans sous-vêtements, pour me sentir encore plus exposée. Puis, il a relevé son tee-shirt, révélant ses aisselles humides de sueur, et m’a commandé : « Baise-les, salope. » J’ai rampé plus près, ma langue glissant sur sa peau salée, léchant goulûment ses aisselles, explorant chaque pli avec une ferveur désespérée, une adoration qui me faisait miauler de plaisir. Le goût musqué, mêlé à son odeur virile, m’enivrait, et je ciselais chaque léchée comme une prière, une sissy qui raffole de vénérer les parties les plus intimes de son Maître.
Le suspense s'intensifiait : me laisserait-il continuer, ou passerait-il à une utilisation plus brutale ? Il m’a ordonné de lécher tout son corps, ma langue remontant de ses pieds à ses cuisses, puis à son torse, savourant chaque centimètre comme un sanctuaire. Enfin, il a défait son pantalon, sa queue dure exigeant mon attention. « Adore-la, pute, » a-t-il murmuré, et j’ai sucé lentement, mes lèvres caressant son gland, ma langue explorant sa verge et ses couilles avec une précision sacrée, une fellation qui se terminait par un baiser de sperme, avalant chaque goutte comme une récompense divine. Il a joui dans ma bouche, et j’ai gardé les lèvres ouvertes pour lui montrer, puis avalé sur son ordre, remerciant pour ce cadeau.
Il m’a congédiée d’un geste, me laissant ramper hors de la pièce, le goût de son sperme sur mes lèvres, mon corps vibrant de sa domination. Ce soir, dans mon panier, je jouirai en repensant à cette session, à la manière dont il m’a rabaissée, utilisée, tenue par les couilles. Je suis Aria, sissy esclave, une lope passive dont la vie se résume à appartenir à son Maître, à pomper et à me faire baiser pour sa gloire. Dans cette servitude absolue, dans ce suspense constant, je trouve ma plénitude, ma raison d’être. À demain, Maître, pour vous servir encore, pour votre queue, pour l’éternité.
7 days ago