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Souvenir de vie anterieure...

Salut a tous , je me permets de partager avec vous une experience réelle que j'ai effectivement vécu, par conséquent , les prénoms ainsi que les lieux sont censurés et changés pour des raisons évidentes ; afin de n'embarrasser personne.

Tout cela a commencé en 2012 , une nuit , j'avais fait le rêve suivant : je me retrouvais sur la place d'un village dont le nom est: "BIP" , j'etais a une autre époque, au XVIIème siécle plus précisément.
Je voyais parfaitement le décor , a mes pieds, il n'y avait que des pavés de couleur grise mais pas un seul mètre carré n'etait fait en goudron. Juste devant moi se dressait une eglise faite de grandes pierres de couleur grise clair avec la croix du Christ bien intallée en haut du clochet, et du coté gauche comme du coté droit de cette batisse , il y avait 2 rangées de 3 commerces ,soit 6 au total. Il n'y avait pas d'écriture pour indiquer "cordonnier" , par exemple, mais juste une plaque faite en bois de la forme d'une chaussure faisant bien comprendre l'utilité de chaque commerce.

Au matin, j'etais amusée par ce rêve qui était d'une netteté extraordinaire au reveil , rarement j'ai pu me souvenir aussi parfaitement d'un simple rêve... mais je n'y ai pas prété attention plus que cela et j'ai commencé ma journée normalement, comme ci de rien n'etait....
A ma grande surprise, ce même rêve , s'etait répété à l'identique une bonne quinzaine de fois en l'espace d'un an et demi , et a force , cela ne m'amusait plus du tout , bon, ce n'est pas que ça commençait a m'inquieter, non...pas jusqu'a la non plus, mais j'etais un peu déroutée, je me demandais ou je suis allée pêcher un truc pareil et pourquoi ce même rêve revenait de façon aussi répétititve, environ quinze fois, quand même, c'est pas rien ...

Septembre 2014 , c'est la grande Braderie de "Bip" , il y avait les amis, et les amis des amis, on a tous fini la soirée chez "xxxxxx" . Nous etions tous en petits groupes dispachés chez lui et on discutait. Pour la premiére fois j'ai rencontré "...." qui etait ami aussi avec "xxxxx". Il nous affirmait que c'était un passionné de l'interpratation de rêves, qu'il étudie cela depuis plus de 10 ans et ce de plusieurs façons (interpretation psychologique, esoterique, Grèce antique...)

Vous pensez bien, mes yeux se sont illuminés d'un coup et je me suis dit "vu sa connaissance en la matière, il pourra peut etre m'eclairer sur ces fameux rêves" .
Etant assez timide pour déballer ça oralement devant beaucoup de monde , je lui ai demandé de me suivre en retrait dans le couloir et je commence a lui raconter ce fameux rêve.
Aprés moultes explications de ma part, il me reponds casi du tac au tac sans reflechir :
"Te prends pas la tete plus longtemps, il ne s'agit que des souvenirs de vie anterieure, tu as de la chance, c'est trés rare de pouvoir s'en souvenir comme ça ,dans nos sociétés occidentales c'est un sujet refoulé, méprisé... "
Heu, oui... je vous avoue mes chers lecteurs, que j'etais tout de même preplexe par sa réponse, étant de culture Catholique, avec des origines Italienne et Polonaise impossible de faire autrement, la réincarnation ce n'est pas trop mon truc a la base; alors j'ai quand même eu du mal a le croire.
Le camarade surencherit ; "tu l'as dit toi même, aucun panneau ni calendrier ne mentionnait le nom du village ni même l'epoque, et tu le savais sans probleme, et comme je te cite "ça venait de trés loin, comme un souvenir mais sans vraiment en être un , j'ai la sensation que ça m'est familier, mais je ne connais pas" ...cherche pas plus, la réponse est deja en toi."

Plusieurs semaines aprés notre rencontre, je ne cessais de repenser a ces propos... et si il avait peut etre raison ? En étant plus curieuse que peureuse, j'ai reussi a chopper sur le Net une vidéo qui, apparement , nous aiderait a nous remémorer nos souvenir de vie passée en l'ecoutant et en se prétant serieusement au jeu, rien que ça...! via une mise sous hypnose, une légère trance en somme, et voici donc ce que j'ai vu :

Je m'appellais a cette époque Myosotis et j'étais la "maitresse/favorite" du Comte qui règnait sur nous tous. J'etais pourtant mariée a un paysan mais bon...il n'a rien voulu savoir et trouvait toujours des coups fourrés pas possible pour m'en eloigner de lui au maximum tout en gardant une discrétion absolue car a cette époque , l'adultère etait fortement réprimé par le Clergé ,même en étant le Comte, il aurait pu avoir de sacrés problémes a ce niveau la.

Par une matinée d'un mois d'Octobre , je me rend seule au chateau car le Comte m'avait invitée pour passer la journée avec lui mais sans ma famille.
Je suis bientot arrivée a destination, j'emprunte un petit sentier bordé d'herbes sauvages m'arrivant au genoux, c'etait si étroit que seule une personne peut y passer a la fois, ou en file indienne si un groupe de personne l'emprunte.
Le Comte etait baissé pour se cacher dans la végétation et guettait mon arrivée sans faire de bruit.
Aprés l'avoir dépassé sans le savoir , ni l'avoir vu, il me suit de trés prés dans le plus grand silence puis, par surprise, il me prend par les hanches et me dit
"Je suis la" , il m'enlace dans ses bras pour me faire un calin en guise de bonjour.
Je lui réponds "Je suis mariée a Philippe" et me rétorque "Je ne veux plus jamais entendre ce nom"

Il me prend fermement la main pour que je le suive rapidement. On traverse le parc en marchant a toute allure, pour arriver dans une autre entrée du chateau. On traverse de longs couloirs dans une marche effrénée pour enfin se poser dans une piéce au rez de chaussé du chateau. Il me lache la main pour aller s'asseoir sur un curieux meuble qui est une combinaison de canapé/lit qui n'est ni tout a fait, l'un ni tout a fait l'autre. Il sort de son pantalon son penis deja en erection, il est superbement bien membré. Il veut que je me mette a genoux pour que personne ne puisse me voir par la fenetre de l'exterieur. Il pousse ma tete vers son membre et me dit
"Desolé de le faire aussi crument mais tu as encore prononcé le nom de l'autre la...le seul prénom que tu devras dire sera ...XXXXXX ,le mien. "

Soudain, je vois un homme nous regarder par la fenetre, je le connais de vue, il travaille pour le Comte en exterieur , je lui coupe la parole pour le prevenir. Sans plus attendre, il se léve, remonte son pantalon et prends son épée qu'il avait laissé a coté de lui a même le sol, et sort. Je le vois s'avancer vers lui de la fenetre et sans se justifier ni quoi que ce soit d'autre, il sort furtivement son épée et lui enfonce sa lame d'un coup, sur un niveau precis de son corps: du bas de ses cotes ,du coté droit plus précisément,et le voyeur meurt instantanément en tombant par terre .
Comment je flippe... il l'a tué comme ça, d'un seul coup en quelques secondes... je me dit "mais il est vraiment malade ce mec, c'est pas possible !"

Je l'entends dire aux autres témoins de la scène :
"Que cela vous serve d'exemple. Je veux être discret quand je suis dans cette piéce" Il montrait de la main le salon d'ou il etait sorti a cause de mon signalement, puis il ajoute :
"Je n'aime pas les curieux, sachez le ... débarrassez moi de son corps, qu'il ne pourrisse pas là."
Quelques brefs instant plus tard , il revient vers moi, me demande de m'allonger et me prends sur le curieux "fauteuil" . La chose qui m'a le plus choquée, c'est qu'il venait juste de descendre un pauvre type et il me passe encore dessus normalement, comme ci de rien était , il venait de tuer quelqu'un de sang froid, et n'en dégageait visiblement aucune émotion.
Aprés avoir fini ce qu'il avait a me faire, il me demande de rester allongée et part je ne sais ou.

Peu aprés, une dame qui travaille au chateau , me rapporte une grosse assiette creuse et me dit "c'est de la part du Comte" et repart tout de suite.
Je me suis assoupie en cette fin de matinée aprés avoir bien mangé, mais je le rejoint a sa demande à sa bibliothèque, dans les deux heures qui ont suivies cette pause.
Il était assis sur un fauteuil trés chic qui avait en plus l'air trés confortable et lisait tranquillement. Il pose son livre en me voyant entrer et me demande de me déshabiller completement. J'avais un peu attrappé froid, il voyait que je commençait a avoir la chair de poule, mais s'en fichait éperdument ... il voulait que je m'allonge sur le tapis qu'il y avait sur le sol.
Il commençait a me masturber avec un gros phallus artificiel , quand il entendait des petits gemissements , il continuait de plus belle, c'est quand j'avais vraiment jouit qu'il me disait :
"Tu m'appartiens "
"Tu seras a moi pour toujours ma petite Myosotis "
"Tu es a moi"
"Tu dois toujours m'obeir et ne jamais prononcer le mot NON "
"J'adore ta grosse poitrine "
Il posait sa tete sur mes seins, me suçait le bout des tétons et ne disait plus rien.

Plus tard dans l'aprés midi , je lui ai demandé de partir, mes petits me manquaient et je voulais les revoir ... mais il n'a pas voulu me laisser m'en aller, et voulait que je reste avec lui jusqu'a la tombée de la nuit.
Je ne pouvais m'en aller que lorsqu'il le decidait... je pense que l'on peu parler sans exageration de sequestration , mais comme il avait tout les pouvoirs sur moi, je ne pouvais même pas le menacer en lui hurlant dessus et d'appeller la police, puisque la "police" c'etait lui même...

Lorsque vint l'heure de diner , j'etais en face de lui, on dinait au chandelles , l'ambiance etait romantique certes, mais j'etais stressée de n'avoir aucune liberté, je n'etais pas vraiment a l'aise.
Il me demanda "quelquechose te préoccupe ?
Je réponds "Oui , je me demande si ma famille va bien , je ne les ai pas vu depuis ce matin"
Il y eu un silence , pesant pour moi , anodin pour lui.

Soudain, j'ai entendu mon mari m'appeller de l'exterieur , c'etait sa voix , je ne rêvais pas... toute contente, je me lève d'un coup et me precipite vers la sortie de ma prison dorée.
Le Comte est entré dans une colére franchement hysterique , il etait défiguré par la rage qui l'envahissait.
Il etait parti dans une direction opposée a la mienne pour prendre une sorte de cravache je pense , c'etait comme un genre de baton long, fin et flexible.
Comme il connaissait son chateau par coeur , il m'a facilement rattrappée avant que je sorte.

Il me retenait le bras trés fermement, il me serrait trés fort , j'avais super mal , j'ai cru qu'il allait me l'arracher, je criais de panique et de douleur.
Il finit par me le lacher en me poussant a terre, par reflexe je protegeait ma tête avec les mains.
Il commençait vraiment a devenir trés menaçant, il m'avais soulevé ma robe pour me donner deux gros coups de cravaches sur les fesses. Ces deux griffes ensanglantées faisait le même signe qu'une croix de "multiplication" sur mon derriére ...

Aprés avoir essayer de m'echapper du château sans la permission du Comte , je m'en suis sortie avec deux blessures ensanglantées sur les fesses telles deux griffures profondes.
Avant que je m'en aille de chez lui, le Comte me dit :
"Ca va trés mal aller pour vous deux si Philippe s'approche encore du chateau quand je suis avec toi"
Je finis tout de même par sortir de la , il faisait déjà nuit noire...
Philippe me disait :
"Je n'étais pas bien de la journée, je t'ai cherché partout : à la maison, aux champs, au moulin mais tu n'etais pas la. Je suis monté au village mais je ne t'avais pas trouvé sur la place. J'ai fini par comprendre que tu étais encore au chateau...pourquoi enocre? "
Je lui réponds
"Le Comte a decidé que l'on paiera pas d'impots pour les 3 prochaines années a venir". Tout en me forçant a sourire.
Il me dit "Mais...tu pleures? que c'est il passé ?"
"Le Comte s'est énérvé que tu sois venu me chercher, il dit que tu n'as plus le droit de le faire."
Philippe, hors de lui me réponds :
"C'est avec moi que tu es mariée, pas avec lui. " et il insultait le Comte sur tout le trajet jusqu'à la maison, je lui ai demandé de crier moins fort, on pourrait l'entendre...c'est pas que je le defendait , mais je ne voulait pas que Philippe paie trés cher le fond de sa pensée profonde.
Arrivés chez nous, je lui montre mes griffes ensanglantées qui me faisaient horriblement mal...il est triste de voir ça et culpabilise, mais je lui dit que ce n'est pas de sa faute, qu'il ne pouvait pas savoir.
Je lui demande de ne plus venir car j'ai peur qu'il fasse bien pire une prochaine fois. Il accepte , non pas par crainte extrême du Comte , mais plutot pour que je ne subisse pas un chatiment corporel une nouvelle fois.
Philippe était agacé de voir le laquais du Comte toquer chez nous plusieurs fois par semaine pour nous dire que seule moi était invitée au château pour tel ou tel jour suivant.

Attendez... je vais remonter le Temps encore plus loin et bien tout recommencer à zéro , depuis le début.
Le Comte était âgé d'une dizaine d'années de plus que moi et il a commencé a s'interesser qu'a moi que lorsque j'approchait la vingtaine alors que j'avais deja accumulé derriére moi cinq années de mariage avec deux magnifiques enfants. Inutile de dire qu'il est devenu suite a cela la "troisiéme personne du couple" et il a tout fait pour le faire voler en éclat de toutes façons.
A t'il user et abuser du "droit de cuissage" comme on dit ?... la réponse va en surprendre plus d'un : et bien non, absolument pas car il a été beaucoup plus subtil que ça...et il ne m'a même pas violée pour m'avoir dés la première fois.

Voila comment ça s'est vraiment passé:
Nous sommes en 1658, j'ai la 18ans, c'est enfin le printemps et tout va bien, je revenais du moulin avec la pate pour la mettre dans le four a pain public et en me dirigeant vers la place, j'etais sure que j'allait rencontrer la bas un ami du village pour pouvoir bien discuter et rigoler .
Je me dirige vers le château qui est sur mon itinéraire incontournable.
J'entends de la droite un carrosse arrivé, les roues et le bruit des sabots des chevaux font beaucoup de bruit. Je m'arrête pour ne pas les géner sur leur chemin.
Bien que j'avais largement le temps de traverser sans déranger, j'ai reculé d'un pas en attendant qu'il passe parceque c'était comme ça qu'il fallait faire.
C'était en fait le Comte qui sortait de son chateau avec son cochet dans son carosse richement décoré.
A mon avis, il était en route pour les champs afin de surveiller en direct de travail des paysans , voire pour réprimender sévérement les tirs au flanc comme il avait pour habitude de le faire.
Le vehicule passe devant moi alors que je restait immobile. Le Comte me regarde droit dans les yeux d'un leger sourire prétencieux , avec beaucoup d'assistance. A peine qu'il m'ait depassée, il demande a son cochet de s'arreter.
Il descent et vient vers moi. Il m'invite a me rendre dans son chateau d'ici quelques jours et me donne environ une demie dizaine de piéces d'argent d'une trés grande valeur.J'avais halluciné de voir autant d'argent dans mes mains, et c'etait bien la première fois...Etonnée, je le remercie de ce don et je lui promets que je viendrai sans faute en réponse de son invitation.
Je me suis dit "C'est bien la première fois qu'il vient me voir comme ça...bah, en fait il est sympa"... je me suis faite delirée toute seule car je ne voyais vraiment rien venir.

Pendant les 3 années qui ont suivies ma première invitation, il ne s'est rien passé au niveau purement sexuel à proprement parler ,cependant il me faisait comprendre explicitement ce qu'il voulait mais sans me forcer.
Au lieu d'employer la maniére forte , il a plutôt jouer sur d'autres cartes ,celle de la patience et du romantisme. C'était les promenades dans le grand parc de son chateau et il me lisait souvent des poésies aussi.
Contrairement a lui, je ne savais ni lire ni écrire alors j'étais complètement facinée quand il me lisait des histoires avec les chevaliers "sur le cheval blanc" , d'ailleurs quand il me recevait dans son chateau , il avait souvent ce livre de couleur rouge foncé et bordaux qu'il portait a la main.
Comme son chateau était entouré d'eau , on faisait aussi des promenades en barque...et a chacune de mes visites, je ne repartais jamais les mains vides (cadeaux, argent, avantage en tout genre...) , je n'avais pas a me plaindre de tout ça, c'est vrai , mais dans un autre sens , j'étais deja mariée et je n'avais vraiment aucun probleme de couple , d'ou ma reticence a céder a ses avances.

Comme tout le monde , je savais sans le dire que le Comte était un collectionneur, et de toutes façons , il avait deja couché avec toutes celles qui travaillent dans son château , au moins une fois.
D'une façon purement stratégique , j'ai finalement accepté de coucher avec lui, pensant qu'il allait vite se lasser de moi et jetter son dévolu sur une autre assez rapidement...ma prevision était heu... franchement merdique ! puisqu'il a voulu faire de moi sa maitresse réguliére suite a cela...

Peu aprés avoir céder aux avances du Comte , les invitations au chateau pleuvaient d'avantage...
Un jour, j'étais seule a la maison avec Philippe, chose quand même qui fut assez rare ,on a donc voulu profiter de ce moment d'intimité qui a vite tourné court puisqu'il commençait a peine a me carresser la poitrine que le Valet du Comte toquait deja a la porte pour annoncer que je devait être au chateau dans l'heure qui allait suivre .

Mon mari Philippe étant tout sauf idiot et commençaient a avoir des doutes... comme il me l'a dit
"Il t'apprecie un peu trop ! il n'y a que toi du village a être autant invitée , c'est bizarre! et je ne suis pas le seul a le dire...on va pas se moquer de moi encore plus longtemps.. je regarderai dans tes jupons pour verifier l'état de ton intimité des que tu rentreras."

Dès que l'on se retrouve ensemble, je prévient tout de suite le Comte sur les soupçons réels que Philippe nous porte et des rumeurs fondées qui persistent au village vue la fréquence de mes invitations...j'en ai même profité pour lui suggerer de tout arreter avant que ça nous explose a la figure...
Avec un grand calme et visiblement pas affolé pour un sou , il me répond avec une grande décontraction : " tu te rinceras, je te ferai apporter de l'eau " et pour lui le probleme a vite été réglé.
Avant que je m'en aille, il me demande de m'allonger sur le ventre, en me soulevant la jupe il me dit
"Je vais te punir , car tu as manqué de respect a un noble"
J'ai tourné ma tête vers lui avec les sourcils froncés façon de dire "vous avez vu ou ça ou vous ? je comprends rien la ...!"
Il me réponds d'une façon presque amusée " c'est ce que tu diras a Philippe"
Le Comte alternait carresses ,fessées et bisous... plus ça passait , plus les coups sur les fesses etaient violents mais plus les carresses et bisous etaient doux.
Il faisait ça autant pour marquer mon corps de "preuves" ,mais surtout pour montrer a Philippe que ma punition était effective puisque j'etais convoquée au chateau pour "recevoir une correction"
Je suis sortie du chateau les fesses toute rouges. Au debut j'ai aimé , mais vers la fin beaucoup moins , l'accumulation de fessées de plus en plus forte m'etaient par la suite devenues des plus insuportables... quand je criait de douleur il me carressait un autre endroit de la fesses ou la peau était restée plus blanche.
Il m'a dit avec compassion qu'il etait obligé d'y aller trés fort pour que la punition soit publiquement crédible et m'a conseillée d'exagérer la douleur quand je prendrais la position assise devant quelqu'un pour mieux couper court aux rumeurs.

Evidemment, cette riposte n'a pas été suffisante... même la Comtesse , la femme du Comte donc, nous avaient pris par la suite deja deux fois en flagrant delit au chateau... mais il a trouvé une parade imparable pour que je vive de longs mois dans son palais sans que qui que soit ne trouve a redire

Je menais malgrès moi une double vie, j'étais mariée à Philippe et j'étais également la maitresse du Comte XXXXX.
Bien que plusieurs personnes soupçonnaient notre relation adultérine, on continuaient a se voir quand même, et malgrés tout cela, il ne cessait de m'inviter régulièrement dans son chateau comme si toutes ces histoires affolantes ne l'impressionnaient pas plus que ça...

La Comtesse nous a pris deux fois en flagrant délit , voici comment cela s'est passé:
Le Comte m'avait offert une nouvelle robe car il ne supportait plus mes "haillons" comme il le disait. Je savais deja a quoi elle allait ressemblé : elle etait noire faite d'un tissus d'une qualité vraiment exeptionelle mais elle n'avait aucune fantasie telle que des rubans ou autre franfreluche décorative
A cette époque, la mode était d'une sobriété franchement austaire... rien à voir avec le look Marie Antoinette arrivé 100ans plus tard qui etait vraiment beaucoup plus décoré, coloré et excentrique.
Il y avait aussi en complément, une longue cape a capuche puisqu' il etait de rigeur a cette époque pour les femmes que de se couvrir les cheveux .
J'ai donc troqué mon look qui ressemblait a celui de la "laitiére" ...contre quelquechose de plus classe.
(Desolée mes chérs lecteurs de faire reference a cette marque de yahourt célébre...je n'ai pas d'actions chez Danone hein ! soyez tranquilles, mais je ne trouve pas mieux pour vous décrire avec plus de precision possible le look que j'avais avant de recevoir son cadeau... )
Grace au Comte j'avais pu mieux m'habiller, avec des vetement de meilleure qualité et surtout plus beaux , je suis passée du look de "la jeune fille a la perle" a celui de "Milady de Winter"...

J'arrive devant le chateau , car il était convenu que j'y aille ce jour la imperativement puisque ma nouvelle robe sur mesure était arrivée.
Des qu"il me voit, il m'entraine sous un grand saule pleureur pour être cachés sans que nous soyons ni vus ni dérangés grace aux branches couvertes de feuilles qui tombaient jusqu'au sol. On a commencé a s'embrasser mais je n'etais pas a l'aise, je lui dit :
"C'est dangereux ici, n'importe qui pourrait nous surprendre... et vu les rumeurs qui circule contre nous deux en ce moment c'est pas... heu..."
Il me réponds "Non, ne t'inquiétes pas, j'ai tout récemment fait passer une loi qui empeche quiquoncque de venir sous cet arbre."
Ensuite il me dit ; "viens me rejoindre au chateau a l'endroit habituel , j'ai prevenu le garde, tu n'aura même pas a t'expliquer... pour l'instant, compte jusqu'a ce que tu peux et rejoins moi" (Ce fameux arbre est a quelques métres du chateau dans le parc de derriére, la mission était que l'on entre chez lui chacun son tour a quelques minutes d'intervalle , mais surtout pas ensemble)

Aprés avoir compté jusqu'a 100 et en me trompant dans les derniéres dizaines, j'entre facilement dans le chateau , je monte a l'étage et sur mon parcourt, je croise la Comtesse qui était aussi en haut de l'escalier. Je l'ai salué "Madame" en lui faisant une révérence. Naturellement, elle ne me répond pas et avait une expression faciale assez méprisante a mon égard...ça m'a quand meme un peu véxé, mais je ne faisait pas attention a elle plus que cela, c'etait pas ma pote.

Je me suis retrouvée avec le Comte dans une piéce, nous etions assis l'un en face de l'autre sur un fauteuil a plusieurs places.
Il m'avait retiré le haut de ma robe pour s'occuper de mes seins ,c'etait de toutes façons la partie de mon corps qu'il preferait.
Il prenait bien un sein dans chacune de ces mains et me pétrissait la poitrine tout doucement. Il s'amusait par la suite avec le bout de ses doigts pour bien me faire pointé les tétons. Il me disait qu'il voulait gouter a "ses petites framboises" .
Soudain, on entend la porte qui s'ouvre... c'etait la Comtesse qui venait de nous surprendre. Elle dit d'une façon a la fois calme et agressive
"Tiens, une grosse vache a lait " a mon sujet.
Comment j'etais véxée... j'ai tout de suite remonter ma robe pour couvrir ma poitrine en tournant ma tête.
Le Comte intervient de suite sans se faire attendre :
"Ne te couvre pas, tu n'as pas a cacher une aussi belle poitrine, ne fait pas attention, elle est jalouse"
Elle réponds a son mari
"Tu es ridicule ! on dirait un gros bébé qui téte sa nourrice"
Il rétorque du tac au tac
"Arrête ça tout de suite, ça fait trés lontemps que l'on ne fait plus rien...je ne peux même plus te toucher"
Elle est repartie en marchant trés vite la tête baissée, si vite qu'elle a faillit trébucher en ce dirigeant vers la porte de sortie.

Peu aprés dans cette même journée, Je suis retournée sur la place du village avec ma jolie nouvelle robe noire, trés fiére de moi. Tout les gens me félicitaient sur mon nouveau look , tous sauf un : vous avez deviné?... Philippe mon mari , bien sur !
Il me dit de rentrer avec lui immediatement a la maison, car il avait quelquechose de trés important a ma dire... il savait bien que le Comte nous regardait de loin et preferait eviter un scandale publique.
Une fois arrivés a la maison , il me dit :
"Cette nouvelle robe est vraiment moche... elle ne te va pas du tout, je preferais l'ancienne..."
" Tu plaisantes ?... tu as vu la qualité du tissus? avec ça, je ne risque pas d'avoir froid en hiver...attends, l'autre avait le tissus tout usé , ça faisait des années que je l'avait et je souffrait en saison froide quand l'air trop frais passait par les trous du vieux tissus qui me poignardait la peau...!"
D'un naturel compatissant , Philippe a tout de même admis que cette nouvelle robe allait me simplifier la vie , mais ce qui le dérangeait le plus, n'etait pas la fringue en elle même, mais surtout le fait que cela venait du Comte...j'avais d'ailleurs exactement la même que celle de sa femme.

Quelques jours plus tard, j'etais encore invité au Chateau mais Philippe a tenu a venir avec moi meme si le Comte ne l'avais pas convié... je sentais que c'etait une mauvaise idée, mais je ne pouvais m'empecher de saluer le courage de mon mari qui était le seul a oser lui tenir tête comme ça.

Sans grande surprise, le Comte la chassé en lui disant d'aller par exemple travailler au champs et il lui a dit qu'il devait chercher de quoi s'occuper car il ne m'allait pas me liberer avant la tombée de la nuit, voire même encore plus tard.
En entrant au chateau le comte m'a fait une scéne hystérique comme Philippe est venu avec moi... je tremblais et je pleurais de peur, je craignais surtout de me reprendre encore des coups de cravache sans pouvoir me défendre ou même encore m'enfuir... il s'est quand même calmer en me voyant dans un tel état, aussi effrayée.
Il m'a dit que de toute façon je lui appartenait tout comme le moindre brin d'herbe ou comme une fleur ou même un arbre comme je vivais sur ses terres. Il m'avait également fait comprendre qu'il avait plus de pouvoir sur moi que mon propre mari puisqu'il n'etait qu'un simple paysan.

En ce milieu de matinée , le Comte voulait absolument passer du temps en toute intimité avec moi et comme ça grouillait de monde dans son chateau , il a eu l'idée de faire un tour en fiacre incognitot jusqu'a "XXXXXXXX " les stores fermés.
Personne de dehors ne m'a vue entrer dans son carosse avec lui puisque nous sommes monté dedans discrétement avant même que nous soyons sortis des murs du chateau par une énorme porte.
Nous avons un peu discuter et le Comte exigeait que je lui fasse une gaterie.
Arrivés a destination, le comte me laisse qques minutes dans le vehicule avec interdiction de montrer ma tete aux personnes de l'exterieur et on repart aussitot...

Sur le chemin du retour ,il me declare son amour tout bas, d'une façon trés timide...c'était franchement trés mignon, je sentais sa sincérité mais venant de lui, ce Comte trés sûr de lui qui faisait flipper tout le monde, avait a ce moment precis, une expression d'enfant intimidé.
Et le pompom, il m'avoue qu'il aurait préféré se marier avec moi et pour me prouver que ce ne sont pas que des paroles en l'air , il m'invitera sur son lit conjugal des notre retour.

Peu a peu, j'appreciait vraiment de coucher avec mon Comte car je culpabilisais de moins en moins et je devenais de plus en plus a l'aise avec lui. Il faut dire qu'il faisait ça vraiment bien car il cherchait sa jouissance, bien entendu, mais sans oublier la mienne aussi et c'est ça qui rendait l'acte encore plus grandiose.
Je ressentais bien que je n'etais pas qu'un vulgaire "vide couille" a la merci de Comte pour son propre plaisir purement égoiste...au contraire !

Il me déshabille et m'allonge sur leur lit. Il me fait beaucoup de compliments sur mon physique. Le premier coup de rein me fait deja frémir de plaisir, les suivants me rendent encore plus folle , je ne pensais plus a rien et je me laissais completement aller...je prenais mon pied et je jouissait comme une vraie salope qui ne culpabilise même plus de tromper son mari et je lui en redemandait encore et encore... il me demandait
"Quel est le nom de celui qui te fait le plus jouir ?
"XXXXX" lui ai je répondu.

Alertée par mes cris de bonheur , vraissemblablement , la comtesse nous surprends dans leur chambre, et j'atterissais violemment dans le monde réel... Elle rage comme une hysterique, car cette fois ci ce n'est pas juste une pelotage de seins qu'elle surprend mais carrement l'acte en lui même et qui se passe de surcroit dans le lit sur lequel elle dort...
Le comte lui somme de se calmer sous peine de la fesser sur le champs.
Il lui demande de ne plus parler de lui et de ce qu'il me fait au curé autrement ,il la ferait passé pour folle.
Il lui repproche de ne pas avoir assez de formes et de ne rien manger... elle retorque "qu'elle ne veut pas devenir aussi grosse que moi, hors de question pour elle de ressembler a une grosse vache a lait."
Il lui propose un plan a 3 avec moi et lui demande de me toucher les seins pour qu'elle comprenne que c'est mieux d'etre comme ça au lit, a ma surprise elle avance sa main vers ma poitrine... pour mieux frapper mes seins avant de partir avec dedain.
Le Comte me dit "Oh la méchante, elle t'a frappé les seins... ne t'inquiéte pas, je vais bien m'en occupé pour apaiser ta douleur"

Le Comte n'etait pas idiot et sentait bien qu'il ne pouvait pas continuer comme cela plus longtemps. Alors que j'attendais un autre enfant de Philippe , il a eu l'idée de mettre aussi sa femme enceinte afin que j'entre dans leur chateau comme la nourrice de leur futur bébé...surtout dans le but de couper court a toutes ses rumeurs d'adultère.
"Je ne suis pas sa maitresse , mais la nourrice du bébé , alors , les mauvaises langues, ça va bien avec votre imagination débordante" , genre de dire...

C'était au milieu du printemps de cette année la... l'arbre était couvert de grandes fleurs blanches.
Le Comte m'a demandé en me carressant les seins d'être la nourrice de leur futur enfant et franchement, je n'etais vraiment pas emballée par cette idée. Je le connaissais assez suffisament pour comprendre que ce n'etait qu'un énième coup fourré pour que je m'eloigne encore plus de Philippe que j'aimais toujours trés fort malgrés ma double vie.
Il me dit :
" On ne désobéit pas a son seigneur ma petite Myosotis... il ajoute :
"Tu ne dois jamais me dire non , autrement je me verrai dans l'obligation de te mutiler les seins. Je n'aime pas te menacer mais tu m'y oblige. Je ne me génerai pas pour dire a tout le village que tu as essayé de me seduire alors que tu es deja mariée. N'oublies pas que j'obtiens toujours tout ce que je veux"

Je ne savais plus quoi faire... malgrés cet immonde chantage , j'ai décidé de céder car sa parole valait pour les autres beaucoup plus que la mienne... et toutes ces rumeurs qui circulaient...hors de question que j'allais etre la seule a tout ramasser.
J'ai pensé aussi a Philippe qui allait etre ridiculisé publiquement , sans parler de la réaction violente qui aurait eu a mon égard ... et je n'ai pas oublié l'enfant que j'attendais qui allait avoir besoin de ma poitrine pour se nourrir... pas le choix donc, j'ai répondu "oui" .

Le comte appreciait de plus en plus ma docilité... il m'a avoué qu'il a mis sa femme enceinte pour que je devienne la nourrice de leur futur bébé afin aussi de couper court a toutes ces rumeurs d'adultére.

Aprés cela... comment Philippe allait réagir au vue de mon futur métier de nourrice ?
Comment ça se passait au chateau quand j'y vivais plusieurs mois a "cause" du bébé qui ne faisait pas ses nuits ?

La baignoire déborderait presque d'eau chaude, je me sens si bien , cette température est casi parfaite... j'oublie tout et je savoure ce bon moment.
Ma dame de compagnie me nettoie tout le corps , ou plutot devrais je dire qu'elle me caresse et me fait des attouchements partout. Elle insiste surtout aux endroits de mon corps les plus sensuels tels que les seins ou les fesses en prenant encore plus son temps et en redoublant de douceur.
Le Comte nous regarde par le trou de la serrure mais on le savait toutes les deux car cela faisait partie du jeu.
Elle recommence a me laver depuis le début comme si elle n'avait rien fait. Cette fois ci elle me mets carrément des doigts dans la chatte , ce bain devient de plus en plus un support pour préliminaires.

Quand elle a vraiment bien fini ,elle me sèche mais...n'en a pas terminé de me tripoter pour autant.
Elle met de l'huile de couleur jaune sur mes seins, elle en deverse généreusement dans ses mains avant de l'étaler langoureusement sur ma grosse poitrine.
Ses massages ont sur moi un effet à la fois excitant et relaxant , je me sens vraiment bien , on s'allonge sur le lit qui n'était qu'a quelques mètres de la baignoire mobile que l'on pouvait déplacer au grés des envies comme une simple meuble.

Elle continue de m'administrer les soins mammaires et je commence a sortir de long et silencieux "hmmm..."
Je ne reste pas passive pour autant même si elle s'occupe bien de moi , je commence a mon tour a lui tater ses formes genereuses par dessus sa robe...et je ne tarde pas a la déhabillée afin que l'on se retrouve toutes les deux toutes nues.
Le feu dans la cheminée était allumée et la baignoire dégageait quelques vapeurs de fumées... l'ambiance était trés chaude, érotique et humide.
Une sensation de confort régnait partout dans toute la pièce. Même si nous n'etions pas en été , la temperature ambiante du lieu aurait pu nous y tromper.
Pourtant dehors le ciel était gris et il pleuvait assez régulièrement , c'était une journée typiquement automnale ...les feuilles jaunes sur les arbres étaient secouées par le vent quand elles ne tombaient pas à terre.
J'aimais ces moments là lorsque j'etais au chateau, c'était une vraie source de chaleur qui aurait été impossible de reproduire dans ma petite maisonette en terre cuite.

Le Comte fait irruption dans la pièce , il se déshabille vite pour nous rejoindre dans le grand lit. On s'occupe toute les deux de lui , elle lui fait une pipe alors que je le caresse sur tout le torse en le couvrant de bisous.
Il la fait reculée pour me prendre la premiére. Il me touche la poitrine avec beaucoup d'insistance et s'occupe de mes tétons en jouant avec pour qu'ils pointent et se durcissent.
Il me fait toujours aussi jouir ... j'adore ses coups de reins , il va fort mais ne me fait jamais mal. Il s'est tellement bien s'en servir de son penis que j'en oublierais presque que je suis mariée dans ses moments la.

Ce n'etait pas que je n'aimais plus Philippe , loin de la ... mais je ne culpabilisais plus de le tromper contrairement au debut ou je venait de commencer ma relation d'avec le Comte.
Il m'a fait un immonde chantage : que je devienne la nourrice de son bébé pour que je sois sa maitresse qui vive sous son toit sans que personne ne s'y oppose...et pour que je cède sans problèmes, il m'avait menacé de me faire couper la poitrine en cas de refus de ma part.
Je n'aurais pas voulu de cela et j'aurais volontier laissé ma place à une autre que moi, pour ça qu'on peut parler d'un affreux chantage mais en même temps des plus delicieux...et je prenais gout a lui appartenir ...a force d'être souvent avec lui.
Il faisait tout pour passer un max de temps avec moi , il n'en était jamais a court d'idée pour ça.

Revenons au plan a 3 ...
Le Comte etait des lors sur ma dame de compagnie, il la prenait vigoureusement . J'étais juste a coté d'eux allongée , et je les regardait faire en posant une main sur un de ses seins.

Quand il a congédié ma dame de compagnie , il est resté seul avec moi allongé sur le lit et il m'a demandé comment Philippe a réagit lorsqu'il a appris que j'allais surement travailler au chateau...
"Il n'était pas content du tout... et il a casiment hurlé quand je lui ai dit que j'allais dormir chez vous quand le petit ne fera pas encore ses nuits.
"Il espère simplement que les examinateurs qui me recevront dans quelques mois ne me jugeront pas apte pour m'occuper et pour allaiter votre enfant a venir" lui ai je repondu.
Le Comte ricanait pour bien montrer son mépris face aux inquiétudes de Philippe et sa grande assurance face a ce dernier.
Il m'a dit
"Je ferait tout pour que tu sois acceptée , tu peux en être sure.
"Pour commencer, tu diras bien a Philippe qu'à partir de demain , tu passeras tes journées entiéres au chateau afin que je te prépare bien pour le grand jour l'examen final , ou tu passeras devant le jury pour ma requête..."

Et il ajoute également les consignes qui s'appliqueront spécialement pour moi , il finit par me dire:
"Tu es obligée de prendre encore plus de poids pour que le certificat d'aptitude soit accepté avec certitude et facilité. C'est bien la seule chose qui manque pour que la reussite soit pleinement assurée...
"Par ailleurs, tu peux compter sur mon appui, je serai généreux en éloges a ton propos. "

Au bout d'une semaine deja , le "programme intensif " avait deja débuté.
Il mettait tout en oeuvre pour que je devienne coute que coute la nourrice de son futur bébé.
La ou ça devenait plus dur pour lui , c'est qu'il ne pouvait pas a lui seul decider de qui allait allaiter son petit.
Il avait parfaitement le droit de choisir une potentielle nourrice selon ses affinités , son evaluation de son proffessionalisme et bien d'autres choses... mais attention!!... d'autres personnes devaient également donner leur accord via des papiers , documents et tout autre forme de contrat pour les transmattre au clergé aprés un examen méticuleux de la nourrice choisie et voulue par le Comte...

D'une façon légale, et même si le feu vert n'avait pas encore été donné par toutes ses personnes, le Comte récupérait le pouvoir de me faire venir chez lui tout les jours dans son chateau , vu les circonstances.
Il était heureux de m'avoir dans son chateau des 7 heures du matin et il n'hesitait pas a me refaire dormir dans la matinée pour que je ne sois pas en manque de sommeil...mais Philippe vivait trés mal cette situation et ne pouvais rien faire au risque d'etre pris pour un mari jaloux, trop possessif et tiranique... il survellait tout mais de loin.

Plus les semaines passaient...
Le Comte était vraiment aux petits soins pour moi , encore plus que d'habitude.
Je devais faire le moins d'efforts possible , et faire des sièstes aprés chaques nombreux et copieux repas allongée prés de la cheminée.
Il venait me voir réguliérement dans la journée, prenait de mes nouvelles, et ça finissait souvent en delicieux rapport sexuel.

Quand je repartait le soir avec mon bébé ,
j'avais a cette période précise encore le droit de retourner chez moi et dormir avec mon mari Philippe (puisque j'avais accouché plusieurs mois avant que la Comtesse ne soit a therme de sa propre grossesse¨) , j'emportait toujours un panier rempli de nourriture.
Comme je ne pouvais vraiment plus rien avaler, je donnais le contenu du panier a des familles vraiment misérables qui ne mangeaient pas forcément tout les jours...mais je me gardait bien de le dire au Comte,autrement il aurait raler.
Et je pense aussi qu'il m'aurait même passer un savon pour ça , alors je lui ai caché ce dossier.

Au bout de quelques mois, 2 ou 3 grand maximum :
Je grossissais de plus en plus, j'avais bien pris 10 kilos gramme ajoutée a ceux que j'avais deja pris pendant ma grossesse qui n'etait pas si loin que cela...Mes seins gonflaient comme des gros ballons ainsi que tout le reste du corps, mêmes mes hanches n'ont jamais étées aussi arrondies, je ressemblait a une vraie vache a lait.
Le Comte s'en réjouissait de mon exeptionelle prise de poids. Il s'allongeait souvent sur moi quand il me faisait comprendre que je l'excitait et qu'il avait envie de me faire l'amour. Je sentais que je lui plaisiat encore plus a sa façon de me toucher, de me caresser et de me pénétrer avec sa grosse queue bien dure.

Le jour J :
Le Comte est devant la porte de son bureau, il m'attend et me dit que "tout va bien se passer"
Je passais "l'entretient d'ambauche..."

Le Comte m'attendait dans le couloir , juste devant la porte de son bureau.
Il me regardait m'avancer vers lui... j'étais dans un stress pas possible ,comme nous étions arrivés a cette date du grand jour de l'examen...
Avant d'ouvrir la porte, il me conseille de "ne rien dire et de me laisser faire" .
Quatre personnes soit deux hommes et deux femmes étaient assis chacun sur une chaise face à nous.
Le bureau nous séparait de ces examinateurs , le Comte s'asseoi dans son fauteuil à une place, et moi je reste debout, a coté de lui...

A peine être tous installés (enfin, pas tous puisque je n'etais pas assise moi...)
un homme a demandé a ce que je sois complétement dévétie pour qu'il puisse voir "l'état de mon corps" ... j'ai cru rêvé , ou cauchamarder plutôt !!!
Sans attendre une seule seconde, le Comte se lève et se met derrière moi pour me défaire la robe. Il enlève toutes les attaches, mon vetement glisse le long de mon corps pour s'écraser au sol.
Je me retrouve à être la seule déshabillée, completement nue , devant les 4 examinateurs et le Comte, qui eux , avaient gardé leurs vêtements tout en restant assis , bien confortablement...
Petite parenthése , même si le ciel était généreusement ensoleillé , il ne faisait vraiment pas chaud, ça se voyait aux frissons qui recouvrait mon corps ainsi que me tétons qui durciçaient a cause du froid... mais personne ne m'avait proposé de me recouvrir...même pas en rêve.

Comment je voulais m'enfuir de ce lieu a toute jambes ! courrir au moins jusqu'au village pour me retrouvée avec des personnes plus saines , plus normales... et Philippe, qui devait en ce moment même prier pour que la requête du Comte ne soit pas accordée, oh purée , j'étais au plus mal...

Comment j'en voulait au Comte de m'exhiber de façon aussi humiliante ! Il ne m'avait jamais prevenu de ce "petit" detail , que j'allais être traitée comme une bête de foire et en plus devant des gens que je ne connaissais pas...et ce n'était que le début.
Il était trés fiér de m'exhiber, mais moi j'etais choquée.

J'ai vite deviné que ces personnes étaient ses amis, ou tout du moins, qu'ils se connaissaient bien car il leur avait insinué lourdement que j'allais être sa maitresse sans qu'il n'y ait d'histoires ou de scandales.
Le Comte semblait vraiment a l'aise devant ces personnes , et c'etait bien la première fois ou il ne cachait pas ses réelles motivations et intentions a mon égard devant des témoins...
(D'habitude on se cache , et si vraiment on est grillé soit il tue ou menace les personnes intrusives a nos ébats sexuels et amoureux, mais la , il était d'une franchise completement déconcertante....)

Ce fut un veritable calvaire qui a duré deux bonnes heures.
Entre les commentaires des examinateurs a mon propos tels que par exemple:
"Elle a une poitrine vraiment appetissante"
"La douceur se lit sur son visage"
et les pelotages provenant d'eux...franchement, j'étais bien servie!..
Bien entendu, le Comte a également jouer sa part et il a été encore plus loin que les autres.
Il a pressé mes seins pour que le lait coule dans un petit bol afin de le faire analyser par les medecins.

Pendant la partie gynécologique , il m'a carrément fait écarter les cuisses pour me mettre des doigts devant toute l'assistance.
Il a fait exprés de me doigter d'une façon sensuelle comme si nous étions en plein préliminaires... il voulait m'entendre jouir , je sentais bien qu'il insistait pour que je finisse par craquer en gémissant.
Au debut je tenais tant bien que mal , car ça m'aurait trop gené de me lacher comme ça devant des temoins, mais comme le Comte savait comment s'y prendre avec moi ,je commençait a ressentir un plaisir sexuel , de plus en plus fort que j'ai fini par pousser des sons qui s'etaient échappés de ma bouche.
Je me sentais humiliée mais en même temps trés belle aussi d'être dans une pareille situation.

Le bureau était couvert de documents que tous signaient et s'echangeaient.
Je ne comprenais pas ce que le contenu de ses papiers signifiaient car je ne savaient ni lire ni écrire , même pas mon propre prénom... et le Comte jouait bien de cela des qu'il le pouvait.

Aprés deliberation, ils ont tous décidé que... j'etais apte a s'occuper de son bébé.
La joie et le triomphe se lisait sur le visage du Comte, il avait réussi son coup sur toute la ligne et ne pouvait d'empecher de sourire a pleines dents.
Il écoutait attentivement les instructions des medecins pour que j'accomplisse parfaitement mon travail de nourrice suivant les recommandations de l'époque :
"Elle doit être bien enrobée, c'est LA premiére qualité physique d'une nourrice"
"Le bébé aura les mêmes emotions que sa nourrice, donc ne jamais la contrariée"
"On est ce que l'on mange donc par exemple , lui donner souvent de l'agneau ex: doux comme un agneau"
.....
Et le Comte ecoutait avec beaucoup de serieux les recommandations des medecins.

Lorsqu'ils sont tous partis , le Comte me dit
"Bon, c'est chose faite. Nous avons deja perdu beaucoup de temps alors tu vas rentrer chez toi pour annoncer a Philippe que tu vivras au chateau les prochains mois a venir comme m'a requete est accordée."

Ma premiére nuit au chateau:
Nous étions tout les deux dans la même piéce, seule la cheminée nous éclairait Cela me faisiat trés bizarre de ne pas dormir chez moi , même si j'etais dans un beau chateau luxueux , ça me faisait drôle comme impression de devoir dormir seule dans un lit qui n'etait pas le mien, ça m'angoissait et j'en avait presque le cafard d'être séparée comme ça de mon mari et de mes autres enfants ...

Je sentais bien que je n'etais pas libre , je me sentais obligée de dormir dans un endroit qui n'etait pas le mien. Ce n'etait pas la premiére fois que j'etais dans son chateau , mais le maximum que j'etais retenue ne se limitait qu'au debut de la soirée aprés le diner...
Cette fois ci, nous étions en plein milieu de la nuit et j'etais toujours pas rentrée chez moi ... j'etais franchement pas a l'aise...
Je ne voulais qu'une chose, repartir dans ma petite maisonette paysanne en terre cuite, ou il y avait mon mari et mes enfants. Mais je ne pouvais pas...

J'etais avec lui dans un salon de l'étage, il me disait qu'avant de s'endormir il avait besoin de me toucher les seins et les avoir sur son visage pour les téter. Il me disait qu'il aurait voulu dormir avec moi, dans le meme lit, mais il ne le pouvait malheureusement pas...fin de citation.

Avant d'aller vraiment me coucher , le comte voulais que je mange une assiete bien copieuse... mais j'avais avalé vraiment beaucoup d'assiettes dans la journée et j'en pouvais plus.
Il n'a pas été content, m'a dit que je n'en fais qu'a ma tête et ceci et cela.
Il avait appellé ma dame de compagnie pour qu'elle m'emméne dans mes appartements pour dormir... elle me reprochait aussi mon comportement et m'avait sermonnée tout le long des couloirs...
" Tu le sais que notre maître aime beaucoup les femmes opulantes, il adore les femmes bien grasses , et toi tu ne veux même pas lui faire ce plaisir, n'oublie pas ce qu'on recommandé les medecins... "
Je ne me fatiguait meme pas a leur répondre , ces accusations n'etaient pour moi que fantaisiste , mon estomac me faisait trop mal...

Le lendemain matin , a peine reveillée, j'ai beaucoup vomi, le comte a pris peur et a tout de suite fait venir le medecin...
Ce dernier m'a trés vite diagnostiqué une indigestion, il a vite compris que je ne pouvais pas plus , que mon estomac n'arrivait pas a suivre le rythme éffréné voulu par le Comte.

Voici ses recommandations :
J'ai du ne boire que des bouillons au moins 24heures , il aurait été mieux selon le docteur que je sois a la diéte idéalement jusqu'a 48h !! et petit a petit réaugmenter les quantité car j'avais aussi un bébé a allaiter...
Je devais reposer mes intestins ; mon systéme digestif , mais faire attention a ne pas maigrir pour des besoins proffesionel (et sexuels pour le comte)

Le Comte avait enfin compris qu'il était allé trop loin , il est venu me voir a mon chevet.
Je lui faisait la tete, je tournait mon visage quand il s'approchait de moi pour ne pas le voir... je lui en voulait de me gaver comme ça sans se soucier de rien , seule la visite du medecin l'avait enfin calmer...

Pour en revenir a Philippe , je le voyais encore mais trés peu car le Comte a choisi de nous autoriser la visite la plus courte possible...en effet , je le voyais qu'une seule heure par jour , juste devant les fenetres du chateau .
J'etais heureuse de revoir Philippe, mais cela passait trop vite...
Un jour , Je disais a la comtesse que j'aimais mon mari quand je l'avais croisée vers l'entrée du chateau en revenant de notre rendez vous -visite... elle m'a dit que le comte ne ressentais rien pour moi, il aimait juste mes gros seins... je lui en ai parlé et depuis il nous avait intredit a toute les deux de nous parler.

La perversité du Comte...
Je ne voyais plus mon mari depuis des semaines hormis cette seule heure par jour en exterieur devant le chateau.
J'avais des envies sexuelles , ça me manquait et le Comte ne faisait que s'occuper de mes seins tout les soirs avant de regagner sa chambre pour y passer la nuit , voila ce en quoi ma "sexualité" se resumait :
Il me mettait torse nu , caressait mes seins, mettait sa tete dessus , et jouait avec mon lait en pressant mes tetons, et pour finir , il m'enlevait le liquide maternel qui avait degouliné le long de mes seins avec sa langue... et c'est tout !!
C'était pas désagréable , certes, mais ce n'etait pas de ça dont j'avais besoin... il me fallait une bonne pénétration virile dans ma chatte pour calmer mes pulsions sexuelles...
Un soir il m'a beaucoup chauffée avec ses doigts , et c'est quand il a bien senti que je mouillais beaucoup qu'il il avait tout arreté pour me souhaiter une bonne nuit .
J'etais trop excitée pour que ça s'arrete comme ça aussi net, alors je lui ai dit que je voulais continuer... il a pris cela pour une grande victoire et me disait
"ça te plait de coucher avec moi, tu en as eu trés envie, tu m'as rappellé alors que je m'appretais a partir"
Il me dit aussi en ajoutant :
"J'adore ta grosse poitrine Myosotis , elle a pour moi des vertues trés calmentes , des que je la vois je me sens apaisé, même les fois ou tu me met en colére je me calme en te regardant poitrine découverte"

Je lui faisait comprendre que j'avais trés envie de lui, ma respiration avait changée comme celle d'une chienne en chaleur.
Je lui caresse le torse pour ensuite me coller la lui...je lui fait bien comprendre que je veux sa grosse bite dans ma chatte et que j'ai trés faim !...
Il bandait dur pour moi, je la sentais en le carressant...sans plus tarder je m'allonge sur le lit en le tirant vers moi.
Le Comte est aux anges et me chauvauche comme jamais ...

XXXXXX a vraiment eu l'idée du siècle en organisant cette veritable mascarade.
Ce fut un sacré coup de genie , si excellent même que j'ai pu continuer à être sa maitresse à la barbe et au nez de tout le monde...
J'allais même jusqu'a dormir chez lui au chateau...toutes les nuits même...!
Le mieux dans tout ça: il a également réussi a couper court à toutes ces rumeurs d'adultére pourtant effectives ... ouais, ça c'était trop fort mec !..
Enfin, pas tant que ça en fait , car son plan, pourtant si machiavelique et si astucieux avait une limite imposée par le Temps qui passe...
Comme un bébé ça fini bien par grandir un jour, je n'allais pas pouvoir être sa nourrice comme ça indéfinement , logique...
Ce qui a fait que le Comte avait vraiment commençer a paniquer, a perdre completement les pédales et c'est ce que nous verrons ensemble dans cet épisode...

Malheureusement pour lui donc , plus le temps passait , plus ma présence au chateau s' espaçait...
A son grand détriment , Philippe reprenait de plus en plus sa vraie place de mari légitime auprés de moi.
Deja aprés quelques mois , j'avais même pu retouner chez moi pour y dormir la nuit sans que le Comte ne me retienne.
Comme le bébé faisait ses nuits completes à cette periode précise, je pouvais deja revenir a la maison le soir, mais bon, je devais tout de même retourner au chateau tout les lendemains matins trés tôt ...

Philippe:
"Je suis content que tu reviennes dormir a la maison... tu m'as terriblement manqué, toutes les nuits je pensais a toi"

"Moi aussi je suis heureuse de pouvoir redormir ici. Je dois encore y retourner dans la journée mais ce sera bientot fini tout ça. Il ne pourra pas prolonger le contrat indéfiniment ...de toute façon la fin approche de plus en plus, on sera bientot tranquilles toi et moi"

Quand on s'est retoruvés , ça a vraiment été la fiesta mais on a du attendre que les petits s'endorment puisqu'on vivait tous dans la même piéce...
Aprés ça a été le feu d'artifice ...mais le tout dans un plus grand silence, bien sur.
Des gemissements muets , des respirations étouffés , des mouvements de corps discrets , un plaisir non affiché vocalement...cela était aussi au programme de nous retrouvailles.
Nous étions heureux et excités mais nous étions discrets pour ne reveiller personne:
Des râles sourds pour Philippe et de mon coté, j'avais du me mordre violemment les lévres pour ne laisser aucun son s'echapper...
Je montait tellement que j'ai fait des griffes sur le dos de Philippe et il me mettait des doigts dans la bouche pour garder le silence...
Ces retrouvailles étaient torrides mais cois ,mais si chaude que Philippe s'est écrasé lourdement sur moi aprés avoir déchargé et grimacer de jouissance...


LE FANTASME SECRET DU COMTE SE REALISE

Cela faisait deja plusieurs années que je fréquantais intimement le Comte et malheureusement pour Philippe, il ne se lassait jamais de moi , bien au contraire...
Il me dit :
"Aujourdhui nous allons faire la chose secréte dont je t'ai parlé l'autre jour. Viens, on monte a l'étage..." et on prenait les escaliers...je ne savais des lors toujours pas de quoi il allait sagir.
J'étais curieuse de savoir ce qu'il allait faire puisqu' il ne m'avait donné aucun indice mais en même temps j'appréhendait un peu quand même car je savais que c'etait un "capable" de pas mal de choses...

On entre dans une piéce qui était étrangement arrangée : un paravant déplié se tenait casiment collé a la fenêtre.
Il y avait par conséquent une forte pénombre , a un point qu'il avait allumé une petite chandelle pour qu'on puisse y voir plus clair...
Il a soigneusement fermé la porte avec un max de précaution, il a en effet mis un mouchoir autour de la clé avant de l'enfoncer dans la serrure, histoire d'être sûr que personne ne puisse nous voir du couloir de derriére la porte.
J'aimais beaucoup cette ambiance secréte et cachée, l'atmosphére que dégageait l'arrangement de cette piece l'avais rendue encore plus érotique... ça se passait vraiment qu'entre nous deux, dans la pénombre... pas mal en fait!

Pleine de stupefaction j'entends le Comte me demander de le fesser en lui disant "vilain bébé"...
Sur le coup je croyait avoir mal compris...
Je lui avais donc demandé de répéter ce qu'il attendait de moi tant je n'en croyais pas mes oreilles...il me dit :
"Moi aussi j'ai besoin d'une nourrice ... et j'ai besoin de fessées aussi"

Sitôt dit, sitôt fait , le Comte se mit sur mes genoux en position allongée et attendait impatiemment sa correction...
Ah, trés bien, si il croit que j'ai oublié ses coups de cravache qui m'a mis sur les fesses y'a plusieurs années auparavant, il rêve lui...
Je me suis fait un plaisir de fesser son posterieur et de lui dire "vilain bébé" à sa demande donc.
Il aimait ça, je lui voyait un petit sourire coquin aux lévres...
Et je me disait:
"Si Philippe voyait ça..."
(.............)
"Enfin, plus d'une personne hallucinerait de toute façon"

Mais ce n'est pas fini , il a voulu que je lui mette des langes a sa taille pour qu'il défèque dedans , comme un bébé .
Il bandait trés dur quand je le nettoyais avec une bassine d'eau apportée dans cette piéce au préalable...
Je n'en revenait pas...mais je comprennais mieux pourquoi il avait vraiment tout verouillé en mode parano.
Bon, c'etait mignon tout plein ...tant que cela restait entre nous!
Certes, si une tierce personne nous avait surpris, ça aurait pu mettre trés gravement son autorité en peril... pensez bien! et moi j'aurais certainement été désigné comme "la perverse qui cautionne ça" à coup sûr!
Cependant et ce malgrés les risques et les dangers de se faire surprendre , nous avions souvent refait ce jeu de rôles "nounou et son bébé".

Quelques années plus tard...

Je n'avais dès lors plus aucune raison d'y aller au chateau , ni même en pleine journée d'ailleurs...
Je n'allaitais deja plus mon propre enfant car il était deja bien trop grand pour ça !
Par contre , le Comte , avait insisté pour que je continue à donner le sein au sien d'enfant jusqu'à ces ...tenez vous bien ... 3ans !
Il mangeait normalement pour un enfant de son age , de la bouillie exactement , donc voila il ne mettais pas non plus la santé de son enfant en danger , mais disons que je lui donnait la tétée pour le dessert et le gouter....c'etait le dernier recours du Comte.
Evidemment , cela commençait a faire parler les gens car strictement aucune personne ne comprenait pour quelle raison un enfant de cet age avait encore besoin de sa nourrice...
Les plus "mauvaises" langues, dans un excés de franchise des plus téméraires , se demandait si le Comte n'etait pas un peu devenu fou sur les bords...

Suite a cela, la jalousie du Comte envers Phillipe était vraiment a son paroxysme: il s'etait vraiment déchainé contre mon mari.
Le Comte réagissait ainsi car il sentait que je commençais a lui echapper et que Philppe reprenait de plus en plus ses droits au fur et a mesure que le temps s'écoulait.
Par conséquent, sa haine à l'encontre de Philippe était montée de plusieurs crans.
Sa dernière trouvaille ; demander a son espion de ne jamais nous lacher d'une semelle et a la moindre faute , aussi minime soit elle , il était tenu de tout dire au Comte strictement tout ! même nos moindres faits et gestes...
Malheureusement je m'en suis rendue compte de cela quand il etait deja beaucoup trop tard, voici pourquoi...

L'ANNONCE DU PROCES....BIDON !

On s'est pris dans les bras l'un de l'autre, je sentais son odeur et la chaleur de son corps...soudain, il m'est venue une idée...
"Je dois aller au moulin pour la pate a pain... tu m'y accompagnes?" ai je dit à Philippe avec un petit sourire coquin.

Ah le moulin ... c'est qu'il s'en passait des choses la dedans et si les murs pouvaient parler , ils nous en raconteraient des histoires pornographiques... et pas qu'un peu !
Bon, officiellement toute relation sexuelle dans cette enceinte était interdite par la loi mais officieusement, tous les couples l'avaient deja fait au moins une fois, le tout étant de ne pas se faire prendre...
C'est un peu comme se fumer un joint , c'est illégal mais beaucoup passent au dessus de cette loi, moi la première.

Nous sommes donc partis pour le moulin avec deja plein d'idées coquines en tête.
Alors que je pêtrissais la pate pour faire le pain , Philippe pêtrissait mes hanches et on s'amusait a le faire de la même façon l'un comme l'autre.
C'etait marrant de constater comment deux hommes pouvaient avoir chacun des préférences differentes sur un seul et même corps ; je veux dire :
Tant le Comte faisait une fixation sur mes seins et tant pour Philippe c'etait surtout mes hanches qu'il préférait.
Ses malaxages me mettaient de plus en plus en condition pour vraiment bien m'exciter... ma respiration commençait a changer.
Il remonte ma jupe et constate que je suis vraiment trés mouillée et toute excitée, il me dit
"Tu es prête ma cherie ?"
Il était debout , derriére moi , je me cambre pour qu'il puisse accéder a ma chatte plus facilement. Il commence a me pénétrer tout doucement et je ressens deja du plaisir. Plus mon exitation grandissait , plus mon mari me pénétrait virilement et intensemment.
Je sentais ma chatte s'ecarté puis se contracter et ainsi de suite sous l'effet de ces coups de reins. Je levais ma tête vers le plafond , je fermais mes yeux et je me laissait guidée par Philippe.
C'était si bon que je ne pensais plus a rien d'autre...
Philippe décharge dans ma chatte...
Soudain , on entend une personne de l'exterieur hurler , il soufflait même dans une trompette ou tout du moins dans un instrument qui fait un bruit d'enfer!

On a vite compris que c'etait l'espion du Comte, cette fouine merde , toujours la aux mauvais moments, comme si il flairait les coups fourés a 100 métres celui la...
Quel enflure n'empeche... il s'est bien rincé l'oeil a nous épier tout le temps qu'on a fait ce qu'on a fait...
Et c'est seulement quand on avait bien fini qu' il a ouvert sa bouche et souffler dans ce qui pourrait être l'ancêtre du mégaphone ...

Voyeur, mouchard ... un vrai sac a merde ce type!
Ca matte le film porno gratuit , ça profite bien du spectacle et aprés ça geule a qui veut l'entendre, bravo !

On s'est fait avoir par une fenetre vraiment traite...
De cette maudite fenetre, une personne postée à l'exterieur pouvait voir tout ce qu'il se passait a l'interieur du moulin et tout ça sans se faire repérer...
Elle était construite de cette façon et c'etait certainement due la forme arrondie du moulin qui faisait que cet angle de vue était comme ça a mon avis.
On est sorti de la tout les deux, rouges de honte... tout le monde se fichait de nous. Il y allait avoir un procés dans les prochaines 48heures "présider" par le Comte et c'etait surtout ça qui me mettait dans une angoisse pas possible...


Aprés avoir été surpris par l'espion du Comte en plein ébat sexuel dans le moulin , Philippe et moi étions convoqués au château...
Il était là question d'un procés à huit clos , nous étions donc tout les deux accusés de ce que l'on pourrait qualifier de nos jours "d'outrage à la pudeur dans un lieu public" ...

Le stress qui me rongeait depuis ces derniéres 48 heures s'est rapidement dissipé quand j'ai vite compris, et ce au bout de quelques minutes seulement , que le Comte allait m'épargner toute sentence...
Cependant , c'était loin d'être le cas de Philippe qui était lui désigné comme le seul et unique coupable de toute cette affaire.
Voici ce que nous verrons dans un premier temps :


LE PROCES BIDON

Le Comte se trouvait là, accompagné de deux magistrats...ils étaient donc tout les trois assis derriére un bureau , alors que moi et Philippe étions assis face à eux , sur une simple chaise.
Petite parenthèse , nous n'avions même pas droit a un avocat , d'ailleurs personne n'avait pensé a nous en envoyé un... enfin, moi je l'avais mon avocat c'était le Comte en personne...mais par contre Philippe , accusé de tout les tords, n'avait strictement personne pour se défendre.

Naturellement, il avait fait passé Philippe pour un pervers , un détraqué sexuel qui n'a aucune retenue... venant de la bouche du Comte ce fut limite risible , "l'hôpital qui se moque de la charité" , vous connaissez ? et bien cette maxime avait vraiment pris ici tout son sens...

Je voyais à l'expression faciale du Comte qui s'éclatait vraiment a présider ce procés car il avait d'ailleurs beaucoup de mal à cacher son petit sourire.
Pour lui c'était limite un jeu , un moyen de pourrir la vie de Philippe en toute "légalité" ...car il ne s'agissait ni plus ni moins que d'un énième coup fourré, d'un abus de pouvoir dans toute sa splendeur !

Le Comte disait :
"Comment punir une femme avec une poitrine pareille ? ce n'est pas de sa faute si son mari est un cochon qui ne sait pas se tenir"
"Je me refuse de la châtier pour sa beauté car elle n'est en aucun point responsable de cela"
Il se lève et se dirige vers moi , le Comte avait effectivement la bougeotte, il ne savait pas rester assis puisqu'il ne cessait de faire des allées et venues dans la piéce.
Il a même été jusqu'a me froler la poitrine de ses mains, et ce à plusieurs reprises, pour provoquer Philippe et bien lui montrer qu'il a beaucoup plus de droit sur moi que lui même...
Vue son humeur joyeuse et taquine du jour , il nous a en plus fait de l'humour... des blagues bidons certes , mais il était vraiment motivé à faire le comique :

"Y a t'il une loi pour caresser la poitrine des méchantes?" demanda t'il à ses deux compéres qui lui servaient de magistrats...
Ils étaient tout de même bon public puisqu'ils ricannaient volontier à chacunes de ses vannes pourries, enfin... pas étonnant que le procés s'était déroulé à huit clos...
Autrement les gens se seraient posés de sacrées questions , ils se seraient tous regardés entre eux, l'air interloqué et n'auraient rien compris...de toute évidence, ce n'était même plus un procés mais une piéce de theâtre d'un goût douteux sur laquelle le Comte se mettait exagérément en scène ,à sa propre gloire, un vrai cirque...

Bien entendu, même si le procés s'était déroulé à huit clos , la sentence était par contre publique...
Dès que le verdict était tombé, je suis tout de suite rentrée à la maison pour attendre Philippe, la peur au ventre, la boule dans la gorge.
Ils avaient donc decidé que Philippe allait subir un châtiment corporel au pilori qui se trouvait à quelques mètres de l'entrée principale du château.
Même si je m'étais refusée d'assister à cela, je savais trés bien comment ça allait se passer : les condamnés y étaient attachés , visage tourné contre le lion ,symbole de l'autorité , et les coups de cravache-fouet-bâton pleuvaient sur tout le corps.
Philippe était revenu à la maison le dos et les fesses en sang, les vêtements tout arrachés...je lui ai donc nettoyé les plaies et mis du baume cicatrisant.

Peu à peu, je sentais la patience de Philippe qui commençait serieusement a s'effriter , il devenait de plus en plus froid et distant avec moi...
Un exemple ? quand j'allais le rejoindre aux champs sur les coups de midi avec un panier repas il me disait séchement:
"Tiens, tu n'es pas avec le Comte aujourdhui ?" avant de me tourner le dos...

Un jour , il a tout cassé dans la maison en me traitant de "grosse vache" car une personne lui à dit , et ce sans ambiguité, que j'avais des relations sexuelles effectives avec le Comte.
Qui le lui a dit ?
Il y avait 3 personnes qui savaient parfaitement ce que je faisais avec le Comte. Elles étaient donc inscrites sur ma liste de soupçonnés... mais laquelle ?
La Comte lui même? la Comtesse? ou bien encore ma Dame de compagnie..?
Le mystère reste toujours entier car je n'avais jamais pu répondre à cette question...

PENDANT CE TEMPS AU CHATEAU:

Le Comte avait pour habitude d'être présent à chaque fois que je donnais le sein à son enfant...et il ne faisait pas que de me regarder d'ailleurs...
En effet , quand son fils était vraiment tout bébé, donc pas trop conscient de ce qui l'entourait , le Comte en profitait pour se branler casiment à chaque fois devant moi , pendant les moments où je l'allaitait son petit.
Il était vraiment tout excité de voir ma poitrine en dehors de ma robe pour son bébé et comme ce dernier avait son petit visage collé à mon sein, et qu'il ne regardait pas en direction de son père... ce mammophile de Comte a "su quoi faire..."

Mais comme c'etait devenu un enfant qui avait bien grandit , le Comte devait dés lors attendre qu'on reprenne l'enfant pour le faire changer de piéce,afin qu'il puisse sortir son penis du pantalon tranquillement...
Cela ne l'empechait pas d'assister tout de même à chaques séances d'allaitement , juste comme ça , pour le plaisir de ses yeux.

"Ils ont repris le petit, il est parti... non, non, ne remet pas ta robe , maintenant c'est a mon tour de te téter"
"Mmh...ton lait maternel à vraiment trés bon goût...je redeviens comme un bébé dés que je vois tes seins"
Sexuellement parlant, le Comte avait deux personnalités , pour les préliminaires il était en mode "petit nourrisson " tout calin , mais dés qu'il me pénétrait , il redevenait un homme viril au gros sexe bien dur qui me faisait jouir à chaque fois...

Il suçait et aspirait mon téton gauche et caressait de sa main l'autre sein ...il était si gros qu'il avait besoin de deux mains pour prendre un seul sein dans toute sa totalité...
Je lui caressais doucement ses cheveux , je me laissais faire en pensant que cela allait être l'une des dernières fois ou le Comte me passait dessus en toute tranquilité...
Il m'allongea donc sur un canapé , écarta mes cuisses tout en les caressant et en faisant des commentaires.
Comme le Comte était trés bavard au lit ses gestes et paroles m'excitaient de plus en plus , ma mouille faisait des petites taches sur le tissu du canapé , ma chatte était prête a recevoir son penis bien dressé.
J'adorais ses coups de rein...plus mon plaisir décuplait , plus il allait fort et vite au point de me faire retourner les yeux et me donner de multiple orgasmes.
Ses prouesses sexuelles étaient toujours des plus delicieuses...

L'INVITATION FOIREUSE

A tord ou à raison, j'ai fait part au Comte de mes angoisses sur ma vie de couple avec la froideur de Philippe , le fait qu'on lui a dit qu'il était réellement cocu , les gens du village qui ne comprenaient pas pourquoi j'allaitais encore un enfant de 3 ans...
Je voulais peut être naivement lui faire prendre conscience des limites de son plan pour qu'il réalise enfin qu'il aurait été préférable de tout arrêter avant que tout cela devienne vraiment du grand n'importe quoi...
A ma grande surprise , il m'avait dit me comprendre tout à fait...

Il a par conséquent envoyé son laquais pour faire venir Philippe dans l'immediat afin qu'il puisse répondre à cette invitation et ce dans l'heure qui suivait.
Philippe, invité au château ..? je n'en revenais vraiment pas !


LE CLASH :

Philippe entra dans la piéce ou j'ètais deja installée avec le Comte à la table.
Nous étions assis côte a côte alors que Philippe était en face de nous.
Le Comte pris tout de suite la parole sans se faire attendre...

" Votre femme est vraiment exeptionnelle , elle fait vraiment trés bien son métier. Même si mon fils est deja un enfant de 3ans , il a encore besoin de la téter"
"Savez vous mon cher Philippe que je verse un salaire trés conséquent à votre femme ? Je suis une personne généreuse qui lui paye le double de ce qu'elle devrait normalement gagner"
"Mettez vous à genoux Philippe et embrassez mes chaussures pour exprimer votre gratitude car je vous ai tiré de la misère"

Mon sang n'a fait qu'un tour...il avait franchement dépassé la limite !
J'avais réalisé bien trop tard que le Comte l'avait invité au château une seule et unique fois simplement pour l'humilier...

A suivre...

Published by Lilly77777
7 years ago
Comments
12
Lilly77777
Lilly77777 Publisher 4 years ago
to JusteDominant : En fait c'est réel ...je n'ai rien inventé
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JusteDominant
JusteDominant 4 years ago
Pour ma part, j'ai adoré vous lire Lilly; vous mêlez si naturellement, écriture d'une belle débauche et vos sentiments personnels modernes...que votre lettre est singulière et reconnaissable entre toute ;) Je vois dans ce Comte, vos désirs "secrets", ses débauches auxquelles vous aspirez tant, tout en étant "victime" des chantages, des vices et déviances de ce Comte, alors que Philippe, l'époux, incarne la " normalité" , la "bien pensance"....Je ne sais si ce texte est une reviviscence d'une vie antérieure; mais c'est à coup sûr, une belle mise en images qu'aurait aimé Freund de votre désir..... ;)
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Lilly77777
Lilly77777 Publisher 7 years ago
Merci beaucoup pour l'interet que tu as apporté a mon recit... La suite et fin a été publiée mais pas sur XHamster , voici donc le lien ou tu pourras la lire quand meme http://www.histoires-de-sexe.net/sexe.php?histoire=27236 Il n'y a plus qu'a cliqué dessus , gros bisous
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Lilly77777
Lilly77777 Publisher 7 years ago
Photo du fameux château ; https://xhamster.com/photos/gallery/10002685/195876944
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Lilly77777
Lilly77777 Publisher 7 years ago
to Exorium : lol ^^
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Lilly77777
Lilly77777 Publisher 7 years ago
to charime : Justement je suis retournée sur les dits lieux ... Je me suis filmée dans le parc du château , le titre de la vidéo sera 'Lilly se proméne dans le parc du château" Mais la vidéo est encore en attente de publication, je l'ai téléchargée que ce matin, allée hier ...
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charime
charime 7 years ago
Dire que je suis sur le cul est un peu court, Voilà une histoire comme je les aime, vécue ou pas. Il est marqué: à suivre, je suis déjà impatient de la lire. 
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Exorium
Exorium 7 years ago
Votre témoignage m’a bouleversé. Parce que je vous ai connue à cette époque-là, figurez-vous ! Oui ! Si ! Je faisais partie de la commission qui vous a examinée pour savoir si vous étiez apte à être la nourrice du fils du comte. J’étais celui tout au bout à gauche. Tout concorde. Les lieux, les personnages, les détails que vous donnez. Et, de toute façon, je reconnaitrais vos seins entre mille. Ce n’est d’ailleurs pas la seule période de l’Histoire où nous nous sommes croisés. Champbourdeix. Vous vous souvenez ? La vaine tentative pour émigrer en Angleterre pendant la Révolution. Vous ne pouvez pas avoir oublié ça. Ce n’est pas possible. Au moins ça…
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david355 7 years ago
Bonjour vivement la suite j est adore merci
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Arti_chaud
Arti_chaud 7 years ago
super récit hâte d'avoir la suite
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Lilly77777
Lilly77777 Publisher 7 years ago
Je te remercie ^^ bises
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Lilly77777
Lilly77777 Publisher 7 years ago
Les gens vont vraiment me prendre pour une allumée ^^ Lol, pas grave , j'assume parfaitement ;)
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