Ma première séance de soumission...

Dans mon dernier article, j’ai fait référence à la première séance Maitre/soumise durant laquelle j’ai pris beaucoup de plaisir mais je ne vous l’ai pas encore raconté suite aux derniers événements des dernières semaines.

Je répare donc cette erreur aujourd’hui !



Après l’accord passé avec Maitre T comme quoi j’acceptais d’être sa soumise et mes premières preuves de soumission, même si nous avons eu des rencontres dans les toilettes (notamment pour des fellations), nous avons dû attendre plus de 3 mois avant d’avoir une véritable séance M/s.

Et oui, 3 mois… c’est très long.

Au départ, n’ayant pas prévu d’avoir d’un Maitre et étant célibataire, et bien, mon programme était fait en fonction !

Mon Maitre n’étant pas célibataire, Il n’était pas forcément disponible non plus ou nous ne l’étions pas en même temps.

De plus, n’ayant jamais était soumise auparavant, ça m’arrangeait un peu d’être occupée. Les choses avançaient lentement, j’avais ainsi le temps de me faire à l’idée et de voir progressivement ce que ça impliquait.

J’avais également peur de ne pas être à la hauteur… Je profitais ainsi des attentions de Maitre T avant qu’Il ne se rende compte d’avoir fait une erreur sur mon compte et qu’Il souhaitait stopper toute relation avec moi.



Mais après des semaines à s’envoyer des messages, à des caresses furtives dans les couloirs ou les toilettes, les mois sont passés… Je n’en pouvais plus d’attendre cette fameuse séance (pour moi, elle devenait presque un rêve irréalisable).

Je ne crois pas au destin mais à force d’occasions manquées, je me mettais à douter et je me disais qu’on n’y arriverait jamais, qu’il serait peut-être préférable d’arrêter de rêver et de reprendre nos vies là où elles en étaient avant.



Un jour où mon Maitre et moi étions dans le même groupe de formation pour le travail, nous avions réussi à nous asseoir côte à côte et nous essayions de profiter de chaque instant… ma cuisse frôlée furtivement par sa main, des regards sur mon décolleté, ou moi, des regards vers sa queue…

Rien que de sentir sa main près de ma cuisse, mon excitation montée en même temps que ma température corporelle. J’essayais de ne rien montrer, d’être discrète mais je suis encore étonnée (et soulagée J ) que personne n’ai rien vu… par moment, mes joues devenaient toutes rouges par l’excitation et par la peur d’être découvert…

Mais pour en revenir au sujet principal, lors du dernier jour de cette formation, à une pause, mon Maitre m’a envoyée un sms annonçant qu’Il était disponible le soir-même, qu’Il était excité à l’idée de me soumettre et qu’Il n’accepterait aucun refus de ma part.

Heureusement, ne sachant pas vers quelle heure se terminerait cette formation, je n’avais rien prévu, j’étais donc 100% disponible (en plus, pas d’inquiétude à savoir si j’étais épilée ou pas… avec les premiers ordres de mon Maitre, je suis toujours prête ! ;) )

Enfin, j’allais pouvoir goûter à une séance de soumission, j’allais savoir si j’aimais ça (bien que les débuts eurent été prometteurs, qui peut être certain d’aimer une chose avant d’avoir essayé ?)



Le temps que la journée se termine, le stress s’est un peu mélangé à l’excitation. Je me posais 100 questions…

A quoi mon Maitre allait-Il me soumettre ?

Comment ?

Est-ce qu’Il apprécierait mon comportement de soumise ?

Est-ce que je saurais me soumettre ?

Etc…



Mais plus de retour possible en arrière. Il fallait que je sache à quoi m’en tenir et il était largement temps que nous passions à l’acte !

Sur la route, en allant chez lui, j’ai dû me retenir pour ne pas l’embrasser ou le toucher… simplement pour être certaine que ce jour était enfin arrivé.



Chez Lui, pas de préambule.

Il m’a tout de suite prise mon manteau et aidé à enlever rapidement le reste de mes vêtements.

J’ai alors réalisé que j’étais face à Lui, nue, pour la première fois. (Il avait déjà des photos de moi nue et Il m’avait peut-être vu déjà comme ça dans les toilettes du bureau, mais ces rencontres sont toujours rares et l’éclairage pas au top. Là, Il avait tout le temps de regarder…)

J’ai commencé à me demander si ce qu’Il voyait Lui plaisait. A me dire que je devrais faire un régime et du sport pour avoir un plus beau corps, que je devais avoir l’air idiote à être immobile comme ça, devant Lui qui était toujours habillé, avec mes gros seins en train de pendre…

Tout ça en quelques secondes…

Le temps que mon Maitre me regarde et commence à me caresser le dos, les fesses et me dise que j’avais des bons seins de putes… Tous mes doutes ont alors miraculeusement disparu.

Et quand Il m’a demandée si j’aimais être là, nue, prête à me soumettre, la réponse était évidente : OUI et j’attendais la suite avec impatiente.



Il a alors sorti une corde et a commencé à me la mettre autour des seins, en les serrant bien.

Au passage, il jouait avec mes tétons et vérifiait si je mouillais toujours autant.

Il m’a mis un collier, un bâillon en forme d’os dans la bouche et m’a ordonnée de me mettre à 4 pattes.

Il a sorti une laisse et m’a dit que toute bonne chienne qui se doit, aime se promener.

Il m’a donc fait sortir dans sa cour, toujours à 4 pattes et m’a fait faire un tour.

J’étais alors exposer à la vue de tous ses voisins, nue, sans cagoule ou masque, tenue en laisse par mon Maitre.

Il m’a dit de me mettre debout et Il a commencé à malaxer mes seins afin que tout le monde puisse voir que j’étais une vraie salope.

A ce moment-là, je me sentais très humiliée, j’avais peur que quelqu’un arrive, je voulais que ce moment s’arrête le plus vite possible mais en même temps, c’est la première fois que je ressentais de la fierté d’être exposée ainsi par mon Maitre. J’étais fière de lui appartenir et qu’Il le montre.



En rentrant dans son salon, Il a posé une couverture par terre, une fois dessus, Il m’a caressée un peu les fesses, la chatte, les seins… Il m’a demandée de m’allonger sur le dos, les cuisses bien écartées et de me caresser devant Lui et de jouir.

Je l’ai fait et bien qu’excitée par la situation, j’étais humiliée par la position, par le fait de me caresser devant Lui et pour être honnête, quand je me caresse, il me faut toujours un peu de temps pour jouir.

J’étais donc aussi humiliée de ne pas réussir à jouir pour Maitre T sur commande. Il ne m’en a pas tenu rigueur et Il m’a ordonnée de venir jusqu’à lui pour le sucer un peu.

Ça m’a rassurée un peu et déstressée d’avoir sa belle queue en bouche pendant quelques instants.



Comme je lui avais partagé mon envie d’être attachée, Il m’a fait monter jusqu’à sa chambre et Il a commencé par m’attachée les poignets puis les jambes au lit, vu du dessus, j’étais positionnée en croix.

Il m’a également mis un masque et là, Il est sorti de la pièce et m’a laissée seule le temps que je prenne bien conscience de la situation : j’étais attachée, impossible de partir, à sa merci. Mais j’étais toujours très excitée, mon entrejambe bien mouillée, toute ce que je voulais, c’était connaître la suite.

Je ne l’ai pas entendu remonter, mais j’ai entendu ou senti quelqu’un près de moi. J’ai entendu un petit bruit très reconnaissable : Il était en train de me prendre en photo. Une assurance pour Lui au cas où je ne veuille pas obéir…

Une preuve à montrer à mon entourage, pour m’humilier. Un moyen de pression…



Il est ressorti et est revenu quelques secondes plus tard. Je l’ai senti se mettre entre mes jambes, j’ai senti un courant électrique me traverser quand il a posé sa main sur ma vulve… et là, sans ménagement, Il a commencé à rentrer un gode dans ma chatte et à faire des va-et-vient violents. C’était bon de sentir sa force à travers ces mouvements… je mouillais encore plus.

Il n’a pas fait ça longtemps, Il m’a simplement félicitée pour avoir bien endurée ce traitement.

J’ai deviné qu’Il détachait mes jambes, tirait et léchait un peu mes tétons et Il s’est installé afin de pouvoir enfin me prendre avec sa queue. Il n’est pas rentré tout de suite, Il l’a d’abord fait glisser sur ma chatte, sur mon clito en « frappant » un peu. Ayant toujours les yeux bandés, j’imaginé très bien son gland en train de cogner mon clitoris. Ça me donnait envie de sentir la chaleur de sa queue en moi, je voulais qu’il me prenne tout de suite, ce qu’Il a fait.

Il y est allé tout de suite franchement, avec énergie.

C’était tellement bon après ces mois d’attente de sentir le poids de mon Maitre sur moi, de sentir sa peau contre la mienne, de sentir ses coups de reins…

Il a ralenti un peu le rythme et j’ai senti sa queue glissée hors de moi. Mais je n’ai pas eu d’inquiétude, mon Maitre voulait seulement enlever le masque, Il voulait que je Le vois en train de me prendre comme une pute et Il m’a aussi détachée le bâillon et les bras et a pris mes poignets délicatement pour les reposer sur ma poitrine toujours serrée par la corde.

Je ne m’en étais pas rendu compte mais sous les coups de reins de mon Maitre, j’avais du contracter les bras assez fortement pour encaisser… ils étaient endoloris comme si j’avais porté quelque chose de lourd pendant un bon moment.

Une fois mes bras reposés, J’ai senti de nouveau mon Maitre en moi, sa grosse queue bien bandée me prendre sans ménagement, mes jambes reposant sur ses épaules pour lui donner un total accès.

C’était tellement bon que je devais serrer les oreillers ou le lit pour résister et ne pas jouir trop vite ou pour justement supporter la jouissance.



Après quelques minutes de ce magnifique traitement, Il m’a ordonnée de me mettre à 4 pattes sur le lit, face au miroir.

Il allait me prendre en levrette et Il voulait que je me rende compte de la chienne que j’étais devenue grâce à Lui.

Quand je me suis regardée dans le miroir, je ne me reconnaissais pas…

Etrange à décrire mais tout mon corps représentait la luxure, le sexe. Je voyais mon corps recouvert de sueur, les cheveux en bataille, les yeux brillants d’excitation, mes seins serrés pendre…

J’ai aimé voir mon reflet dans le miroir, voir la salope que je pouvais devenir et être pour mon Maitre, j’aurai encore voulu l’être plus…



Les mains de mon Maitre me tenant fermement par les hanches, Il m’a alors de nouveau assaillie mais cette fois, comme une chienne, mes seins se balançant d’un côté puis de l’autre par la vigueur des coups.

La corde n’a d’ailleurs pas tenue plus longtemps et suite à l’énergie de mon Maitre, ils se sont de nouveau libérés. Mon Maitre s’est penché les a pris entre ses mains, je sentais leur sensibilité après avoir été serrés si longtemps… c’était bon.

J’avais également du mal à rester bien droite sur mes bras, ils tremblaient et ils commençaient à fatiguer déjà par la première partie et là, par la force que mon Maitre mettait dans l’action…

A un moment où je jouissais, mes bras se sont pliés d’eux même, impossibles pour eux de tenir plus longtemps.

Juste après ça, mon Maitre m’a prise par les cheveux, a tiré ma tête en arrière et m’a ordonnée d’aboyer en regardant dans le miroir pendant qu’Il jouissait.

N’ayant jamais aboyé pour quelqu’un, je trouvais ça humiliant et j’étais un peu timide au départ mais à force d’encouragement de la part de mon Maitre, j’y suis allée plus franchement et là, j’ai senti mon Maitre mettre ses dernières forces pour enfin se laisser aller et éjaculer en moi.



Nous nous sommes écroulés d’épuisement, nous n’avions plus de force ni l’un ni l’autre, mais tous les deux contents du dénouement de cette première séance qui restera mémorable pour moi.



Après un petit moment passée chez mon Maitre afin de reprendre des forces, je suis repartie chez moi mais je n’avais qu’une idée en tête : je voulais recommencer le plus vite possible, recommencer à être à sa disposition, a être attachée et d'obéir à ses ordres et j’étais heureuse.

Heureuse d’avoir enfin eu une séance avec mon Maitre, heureuse d’avoir su accepter les moments d’humiliation (j’ai remarqué par la suite que mon Maitre aime m’humilier, ça l’excite beaucoup), heureuse d’avoir pu satisfaire mon Maitre et aussi heureuse d’avoir la confirmation que j’aimai être soumise.



J’aime être une chienne, une salope, une pute pour mon Maitre. J’aime être tout ce qu’Il veut que je sois.