Mon oncle m'exibe a c'est pote pervers
Je suis entièrement nue, juste perchée sur les escarpins que mon oncles m’a demandé d’enfiler en début de soirée. Il a bien précisé que je ne devais rien porter d’autre, à l’exception d'une chaînette à la cheville droite et deux gros anneaux sur les pointes de mes gros seins un peu pendants.
J'avais 19 ans et mon corps, tout jeune, était très désirable. Le poids des ans a un peu forci ma silhouette mais je conserve une taille assez marquée qui fait bien ressortir mes hanches, mon cul et ma poitrine. En passant devant le miroir de ma chambre dans la tenue, si j’ose appeler cela une tenue, que mon oncle me force à adopter, je me suis trouvée tout à fait acceptable.
Maintenant, je suis debout dans le salon. Mon oncle est là, assis dans le canapé, accompagné de deux types au regard pervers que je ne connais pas environs 50 voir 60 ans . Ils tiennent tout deux un verre de whisky à la main. J’ai un peu honte de me trouver là, exhibée en tenue d’Eve devant ces deux inconnus mais il faut dire aussi que je me sens assez excitée. Et mon excitation augmente encore lorsque mon oncle prend la parole d’un ton dominant :
« Tourne-toi pour montrer tes fesses à mais amis, qu’ils voient ton gros cul ! »
J’obéis aussitôt et pivote sur mes hauts talons. J’imagine le spectacle que j’offre aux trois hommes et ça me trouble. C’est pire encore quand je les entends réagir :
« T’as raison Pierrot, elle a un bon gros cul, juste baisable ce qu’il faut. Ca me fait bander tiens ! »
Et sur ces bonnes paroles, le voilà qui sort sa queue de son pantalon, imité par son camarade. Par-dessus mon épaule, je peux les voir commencer à s’astiquer le manche en me matant.
gros seins mon oncle se lève et vient vers moi, il me fait tourner une nouvelle fois, m’att**** par les anneaux qui ornent ma poitrine généreuse et tire un peu dessus pour faire bouger mes seins.
« Et ça, vous les voyez, ces gros nichons à la peau laiteuse ? Moi, ce qui m’excite, c’est la taille de ses tétines, elles sont si longues. Je suis sûr que cette garce se les suce souvent pour qu’elles soient si grosses. Montre-nous comme tu fais ! »
J’obtempère à nouveau, je prends mon sein droit et le fourre dans ma bouche, suce longtemps le téton pour le faire bien durcir. Il pointe désormais outrageusement vers le duo de vieux branleurs et je sens un peu de mouille qui s’échappe de ma chatte gonflée.
« Hé, regarde Pierre, elle mouille ! Ça coule sur ses cuisses. »
Mon oncle passe sa main entre mes cuisse et la ramène vers sa bouche. Il suce longuement ses doigts.
« C’est vrai, cette traînée est excitée. Ses lèvres sont carrément gonflées.
Avancez-vous les gars, il va être temps de s’occuper d'elle maintenant qu’elle est bien chaude. Vu comme vous êtes raides, elle devrait prendre son pied comme rapidement. »
J'avais 19 ans et mon corps, tout jeune, était très désirable. Le poids des ans a un peu forci ma silhouette mais je conserve une taille assez marquée qui fait bien ressortir mes hanches, mon cul et ma poitrine. En passant devant le miroir de ma chambre dans la tenue, si j’ose appeler cela une tenue, que mon oncle me force à adopter, je me suis trouvée tout à fait acceptable.
Maintenant, je suis debout dans le salon. Mon oncle est là, assis dans le canapé, accompagné de deux types au regard pervers que je ne connais pas environs 50 voir 60 ans . Ils tiennent tout deux un verre de whisky à la main. J’ai un peu honte de me trouver là, exhibée en tenue d’Eve devant ces deux inconnus mais il faut dire aussi que je me sens assez excitée. Et mon excitation augmente encore lorsque mon oncle prend la parole d’un ton dominant :
« Tourne-toi pour montrer tes fesses à mais amis, qu’ils voient ton gros cul ! »
J’obéis aussitôt et pivote sur mes hauts talons. J’imagine le spectacle que j’offre aux trois hommes et ça me trouble. C’est pire encore quand je les entends réagir :
« T’as raison Pierrot, elle a un bon gros cul, juste baisable ce qu’il faut. Ca me fait bander tiens ! »
Et sur ces bonnes paroles, le voilà qui sort sa queue de son pantalon, imité par son camarade. Par-dessus mon épaule, je peux les voir commencer à s’astiquer le manche en me matant.
gros seins mon oncle se lève et vient vers moi, il me fait tourner une nouvelle fois, m’att**** par les anneaux qui ornent ma poitrine généreuse et tire un peu dessus pour faire bouger mes seins.
« Et ça, vous les voyez, ces gros nichons à la peau laiteuse ? Moi, ce qui m’excite, c’est la taille de ses tétines, elles sont si longues. Je suis sûr que cette garce se les suce souvent pour qu’elles soient si grosses. Montre-nous comme tu fais ! »
J’obtempère à nouveau, je prends mon sein droit et le fourre dans ma bouche, suce longtemps le téton pour le faire bien durcir. Il pointe désormais outrageusement vers le duo de vieux branleurs et je sens un peu de mouille qui s’échappe de ma chatte gonflée.
« Hé, regarde Pierre, elle mouille ! Ça coule sur ses cuisses. »
Mon oncle passe sa main entre mes cuisse et la ramène vers sa bouche. Il suce longuement ses doigts.
« C’est vrai, cette traînée est excitée. Ses lèvres sont carrément gonflées.
Avancez-vous les gars, il va être temps de s’occuper d'elle maintenant qu’elle est bien chaude. Vu comme vous êtes raides, elle devrait prendre son pied comme rapidement. »
5 years ago